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Unioncamere : voici le portrait-robot du nouvel entrepreneur

A travers une enquête auprès des 384 2012 entreprises inscrites aux registres des chambres de commerce en 172, Unioncamere a quantifié les "vraies" nouvelles entreprises actives à près de XNUMX XNUMX, c'est-à-dire celles qui sont nées sans avoir aucun lien avec les entreprises existantes

Unioncamere : voici le portrait-robot du nouvel entrepreneur

Plus de la moitié des 172 2012 entrepreneurs qui ont créé une entreprise en 5 ont créé leur propre entreprise en investissant moins de XNUMX XNUMX euros. Les obstacles qu'ils rencontrent sur leur chemin sont principalement ceux liés à la crise économique et à la bureaucratie. Ce sont quelques-unes des informations qui ressortent d'une analyse effectuée par le Centre d'études Unioncamere.

A travers une enquête auprès des 384 2012 entreprises inscrites aux registres des chambres de commerce en 172, Unioncamere a quantifié les « vraies » nouvelles entreprises actives à près de 45 XNUMX (soit XNUMX % du total) ; ou ceux qui sont nés sans avoir aucun lien avec les entreprises existantes.

Une grande majorité d'hommes s'engagent dans la voie entrepreneuriale (74%), de nationalité italienne (87%). Mais il faut souligner que la contribution des immigrés hors UE (8%) est supérieure à celle des citoyens de l'UE (5%). Dans 44% des cas, les nouveaux entrepreneurs ont un diplôme comme diplôme. Seuls 13% du total déclarent avoir pris la décision de créer leur propre entreprise sans avoir d'expérience professionnelle : il s'agit principalement de cas où faire des affaires s'avère être une solution au problème de l'emploi.

Un axe de recherche d'Unioncamere concerne les problématiques qui se cachent dans la première période de vie des entreprises naissant. Malgré l'esprit d'initiative des nouveaux entrepreneurs, la crise économique apparaît comme un obstacle important dans 23% de leurs déclarations. Se dégagent ensuite la difficulté d'entrer sur le marché identifié (11 %) et le poids de la concurrence (10,7 %). Enfin, sans oublier le problème des questions réglementaires : un peu moins d'un cinquième des réponses indiquent, parmi les sources de critiques, la connaissance des lois et de la procédure administrative ; 5,8 % supplémentaires ressentent le poids excessif de la fiscalité. Avec plus de 10% des signalements, les problèmes financiers (manque de capital et rareté du crédit) finissent par apparaître.

Les entreprises qui naissent sont petites: dans plus de la moitié des cas, l'investissement initial ne dépasse pas 5 27 euros alors que dans 5 % il fait appel à un montant allant de 10 à 88 XNUMX euros. Ce n'est donc pas un hasard si XNUMX % des nouvelles sociétés ont adopté la forme juridique de l'entreprise individuelle.

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