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Smart Working, extension des règles : voilà comment ça marche

Le gouvernement a étendu les règles régissant les activités de travail intelligentes en relation avec l'état d'urgence - Voici ce qui se passe pour les employeurs et les travailleurs

Smart Working, extension des règles : voilà comment ça marche

Avec le décret-loi n. 183 du 31 décembre 2020 la prorogation des délais établis par les dispositions législatives liées à l'état d'urgence épidémiologique du Covid-19 a été ordonnée jusqu'à la date de sa cessation et en tout état de cause au plus tard le 31 mars 2021. A cet égard, le délai a été prolongé pour lesquels les employeurs privés peuvent organiser un travail intelligent pour chaque relation de travail même en l'absence d'accords individuels requis par la loi.

Plus précisément:

  • les obligations légales relatives à l'information sur la santé et la sécurité dans le travail intelligent sont remplies par voie électronique, en utilisant également la documentation mise à disposition sur le site Web de l'INAIL ;
  • Les employeurs doivent notifier au ministère du Travail, par voie électronique, les noms des travailleurs et la date de cessation de travail en mode agile, en utilisant la documentation mise à disposition par le même ministère.

Depuis à ce jour, l'état d'urgence épidémiologique de Covid-19 est déclaré jusqu'au 31 janvier 2021 et avec la loi du 27 novembre 2020, n.159, les dispositions susmentionnées sur le travail intelligent avaient déjà été prolongées jusqu'au 31 janvier 2021 et en tout cas jusqu'à la fin de l'état d'urgence, les employeurs devront être attentifs à la poursuite de l'extension de ces dispositions au regard de la poursuite éventuelle de l'état d'urgence en cours.

Par ailleurs, les dispositions de la Décret d'août concernant le droit au travail intelligent pendant la quarantaine ou la suspension des activités d'enseignement en présentiel relatives aux enfants de moins de 16 ans cohabitants et ceux du Décret Rafraîchissements qui permettent aux parents salariés, alternativement les uns avec les autres, pour effectuer l'activité de travail en mode de travail intelligent, si possible, pendant tout ou partie de la durée de la quarantaine de l'enfant cohabitant, ordonnée par l'autorité sanitaire compétente à la suite d'un contact survenu dans l'enceinte scolaire ou dans l'exercice d'activités sportives de base ou motorisées dans des structures dédiées telles que gymnases, piscines, centres sportifs, publics et privés, ou en cas de suspension des activités d'enseignement en présence de l'enfant cohabitant.  

En outre, le décret d'août établit que jusqu'au 30 juin 2021, les parents travailleurs employés par des employeurs privés qui ont un enfant en situation de handicap grave, reconnu conformément à la loi 104/92, ont le droit d'effectuer un travail agile même en l'absence d'accord avec le employeurà condition que l'autre parent soit également travailleur et que l'activité de travail ne nécessite pas nécessairement une présence physique.

Enfin, lié aux travailleurs dits fragiles, c'est-à-dire les travailleurs les plus exposés au risque de contagion au Covid-19, car ils présentent des pathologies antérieures, telles que définies par les circulaires du Ministère du Travail en accord avec le Dicastère de la Santé, le Loi de finances 2021 étendu à la période du 1er janvier au 28 février 2021 l'application des dispositions sur le travail intelligent prévues par la décret Care Italie, d'après lequel ces travailleurs effectuent généralement leur travail en mode agile également en utilisant un emploi différent inclus dans la même catégorie professionnelle ou classification contractuelle, voire bénéficier à distance d'activités spécifiques de formation professionnelle.

La loi de finances 2021 a également prolongé à la période du 28er janvier au XNUMX février 2021 aussi la disposition du décret Cura Italia qui assimile les périodes d'absence du service à l'hospitalisation (avec une indemnité égale à 60% du salaire, s'il n'y a pas de membres de la famille à charge) pour les employés publics et privés en possession d'un certificat délivré par les organismes médico-légaux compétents attestant d'un état de risque dérivant d'une immunosuppression ou de résultats de pathologies oncologiques ou de l'exécution de thérapies salvatrices connexes, y compris les travailleurs en possession d'une reconnaissance d'invalidité à connotation grave.

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