Partagez

Métallurgistes : 56 XNUMX employés à risque. Voici la carte

Dans un rapport sur les conflits dans le secteur de l'ingénierie, la Fim Cisl tire la sonnette d'alarme : 56 47 emplois menacés liés aux 52 tables nationales et XNUMX régionales - L'acier et l'aluminium inquiètent, mais les dangers sont nombreux dans d'autres secteurs aussi - Secrétaire Benaglia : « Les crises concernent principalement le Sud, des interventions urgentes de liquidité sont nécessaires ».

Métallurgistes : 56 XNUMX employés à risque. Voici la carte

Sono 56 XNUMX emplois menacés dans le secteur de l'ingénierie, impliquée dans les 47 tables de crise nationales actuellement ouvertes à la Mise, auxquelles s'ajoutent les 52 tables de crise régionales. C'est le bilan communiqué par la Fim Cisl dans un rapports sur les conflits du secteur. Les entreprises qui ont fait faillite en 2020 sous le coup de la crise et celles qui ne sont pas syndiquées échappent à l'analyse.

L'étude souligne comment, malgré la crise, le secteur de l'ingénierie a résisté aux coups de la pandémie, soulignant les progrès réalisés dans le temps qui ont culminé le 5 février avec la renouvellement du contrat des métallurgistes qui a révisé les critères d'encadrement du professionnalisme, apportant des innovations importantes en matière de bien-être, de santé et de sécurité.

Malgré que "De nombreuses situations de crise subsistent dans le secteur, des litiges historiques (ex-Ilva, Blutec, Piombino JSW (ex-Lucchini), Whirlpool, Bekaert, IIA, etc.) qui traînent depuis des années et qu'il faut absolument résoudre », lit-on dans l'analyse. A ceux-ci s'ajoutent les contentieux liés aux mutations et transitions technologiques qui, dans certains secteurs comme l'automobile ou l'aéronautique, sont de plus en plus concernés. Enfin, il existe également une situation de crise généralisée des entreprises métallurgiques liées à l'industrie pétrolière, notamment en Sicile pour le pôle chimique Priolo/Augusta et en Sardaigne pour la raffinerie Saras à Sarlux (Cagliari).

"La plus grande concentration de situations de crise se situe dans le Sud du pays et dans les îles principales, la zone du pays qui a le plus besoin de politiques industrielles visant à la modernisation des infrastructures et des investissements qui aident les entreprises à faire le saut technologique », explique Roberto Benaglia, secrétaire général de Fim Cisl. « De toute façon, il faut que tout interventions urgentes de liquidité qui permettent de préserver l'emploi et d'accrocher la reprise, poursuit le syndicaliste. 

ALUMINIUM ET ACIER 

Sur les 47 tables de crise ouvertes au ministère du Développement économique, la plupart concernent des crises historiques "pour lesquelles soit il n'y a pas de continuité des engagements au changement de gouvernement, soit l'investisseur se révèle peu fiable", souligne la Fim Cisl. Les secteurs les plus touchés sont acier et aluminium, avec des litiges ouverts depuis plus de 5 ans. Impossible de ne pas mentionner la situation des'Ex-Ilva que le syndicat définit comme "la mère de toutes les crises". Après l'accord signé en 2018 avec Arcelor Mittal et l'accord ultérieur signé en mars 2020 qui a établi l'entrée de l'État dans la structure des entreprises, tout va encore très mal. 

« Ensuite, il y a le pôle ex-aciérie de plomb aujourd'hui JSW, l'ancien Alcoa de Portovesme aujourd'hui détenue par Sider Alloys et, enfin, laAciers spéciaux de Terni, mis en vente par ThyssenKrupp. À cela s'ajoutent toute une série de petites fonderies et usines de laminage et de transformation dispersées dans toute l'Italie qui sont en composition ou en crise », lit-on dans le rapport.

AUTRES SECTEURS 

Dans le secteur de appareils l'attention reste élevée sur la crise de Naples Whirlpool, tandis que dans lel'automobile, en plus des litiges historiques de Blutec de Termini Imerese (ex-Fiat) et ex-Iribus (Industria Italiana Autobus IIA), aujourd'hui les inquiétudes de l'effondrement du marché automobile en 2020 s'ajoutent en perspective à celles liées à l'écologie transition du secteur. Parmi les litiges ouverts, la Fim Cisl fait état « des licenciements en février du site de Melfi du groupe Stellantis en raison du manque d'approvisionnement en puces. De ce point de vue, un raisonnement supply chain avec les deux seuls fabricants de semi-conducteurs présents en Italie serait utile : STM de Catane et Lafonderie d'Avezzano".

Quant à l'industrie aéronautiques, la situation de crise sévère que connaissent les entreprises liées au maintien du transport aérien est préoccupante. Ce sont des entreprises hautement spécialisées, principalement concentrées entre la Campanie et les Pouilles. Une situation similaire est enregistrée en ce qui concerne les industries connexes de la grande pétrochimie nationale, où il existe de nombreuses entreprises du secteur de l'ingénierie qui s'occupent de l'entretien des usines. 

Ensuite, il y a des situations de crise historiques dans le secteur rénovation ferroviaire (ex-Firema, Ferrosud, keller) et le secteur aéronautique et TIC.

"Après l'annus horribilis de la pandémie que nous vivons malheureusement encore, dans le seul secteur de l'ingénierie, nous enregistrons dans notre rapport de crise 56 52 travailleurs et travailleuses qui risquent de perdre leur emploi et sont ceux liés aux 47 tables de crise nationales ouvertes à ministère du Développement économique et aux XNUMX tables régionales », déclare Benaglia. « Nous ne nous attendons certainement pas à ce que les choses se règlent avec la baguette magique, le dialogue et la collaboration sont nécessaires. C'est pourquoi nous demandons au ministre de prendre en charge ces crises rééquiper le ministère d'une « cellule de crise ». Nous devons concentrer davantage nos efforts, résoudre les différends historiques en termes de politiques industrielles et de chaîne d'approvisionnement, de secours, de liquidités et d'investissements, pour donner à ces entreprises la possibilité de surmonter cette année et de se connecter à la reprise et de maintenir les niveaux d'emploi », conclut le secrétaire général de la Fim Cisl.

De nos jours, Vendredi 26 mars, les syndicats des métallurgistes, Fim, Fiom et Uilm, sont en garnison à Rome, devant la Mise, avec les délégations de travailleurs des grandes entreprises d'ingénierie en crise de toute l'Italie.

Passez en revue