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LOI ÉLECTORALE - Italicum vers l'approbation du Sénat en marge de l'accord Renzi-Berlusconi

Le pacte du Nazaréen entre Matteo Renzi et Silvio Berlusconi bave, sur les ailes du "superkangourou" du sénateur Esposito, les milliers d'amendements des oppositions de droite et de gauche et ouvre la voie à l'approbation de l'Italicum, attendue au Sénat entre mardi et mercredi la semaine prochaine

LOI ÉLECTORALE - Italicum vers l'approbation du Sénat en marge de l'accord Renzi-Berlusconi

Tout cela grâce au super-kangourou, à l'amendement-tueur d'amendements du sénateur Pd Stefano Esposito, ou encore au Pacte du Nazaréen entre Matteo Renzi et Silvio Berlusconi qui, à la veille du début du scrutin pour l'élection du nouveau Président de la République, elle ouvre la voie à l'Italicum, la nouvelle loi électorale qui remplacera le Porcellum et évitera le Consultellum.

En décimant plus de 35 XNUMX amendements, le super-kangourou a déplacé les minorités combatives de Fitto dans Forza Italia et Gotor et ses compagnons du Parti démocrate, créant les prémisses du feu vert du Sénat à Italicum, qui étant le résultat d'un inévitable compromis (parce que même en politique les chiffres pour former une majorité ne sont pas une opinion) ce n'est pas la perfection mais c'est certainement mieux à la fois que le Porcellum, déclaré inconstitutionnel par la Consulta, et le Consultellum de la première République qui diviserait même le système politique plus, rendant les gouvernements stables impossibles.

Les minorités se plaignent des carences et des incohérences de l'Italicum mais semblent ne pas se rendre compte que tout se tient et que si une force politique n'a pas 51% en poche, elle ne peut chercher des compromis avec d'autres partis que si elle ne veut pas céder à l'inaction. Ma non c'è dubbio che, al di là del merito delle singole norme che potranno eventualmente essere corrette nella prossima legislatura, le polemiche risentano e siano lo specchio delle divisioni che si profilano, come sempre, all'avvicinarsi dell'elezione del Capo dello L'état.

Paradoxalement, l'épreuve de force de la minorité Pd a eu l'effet inverse : au lieu de détacher Renzi de Berlusconi, elle a consolidé l'accord nazaréen, sans lequel l'Italicum ne deviendrait jamais loi.

Désormais, la ligne d'arrivée est plus proche et, s'il n'y a pas de nouvelles surprises, l'Italicum pourrait recevoir l'approbation de Palazzo Madama entre mardi et mercredi de la semaine prochaine. 

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