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Confagricoltura et Textile-habillement, voici les nouveaux contrats

L'accord signé par Confagricoltura et Coldiretti pour les cadres et les cols blancs concerne 20 7 travailleurs et 2,5 70 entreprises – Reconnaît une augmentation de salaire de 30 % et introduit des innovations en matière de flexibilité du temps de travail. Pour le secteur du textile-habillement, des augmentations de XNUMX euros sur le minimum, le bien-être contractuel s'améliore. Attente de XNUMX jours pour les adoptions internationales

Confagricoltura et Textile-habillement, voici les nouveaux contrats

Il a été renouvelé Convention collective nationale pour les cadres et salariés agricoles. Le précédent contrat a expiré le 31 décembre 2015 : le nouvel accord, qui concerne 20.000 7.000 travailleurs et 1 1 entreprises, a été signé hier soir à Confagricoltura, au Palazzo della Valle à Rome et aura une durée de deux ans du 2017-31- 12 au 2018 -XNUMX-XNUMX. Coldiretti l'a également signé.

« Nous sommes satisfaits – souligne-t-il le président de Confagricoltura Mario Guidi – parce que, malgré le moment de crise, nous avons réussi à répondre aux besoins des managers et des salariés, les plus proches collaborateurs de l'entrepreneur. Une augmentation de salaire de 2,5 % a été constatée. En ce qui concerne la partie réglementaire, des innovations importantes ont été introduites concernant la flexibilité des horaires de travail et les heures supplémentaires ».

D'un point de vue économique, explique Roberto Caponi, responsable de la zone syndicale de la Confagricoltura, "sur un salaire moyen de 1600 euros, l'augmentation est de 40 euros et prendra effet à partir du 1er janvier de cette année". En matière de flexibilité, cependant, le plafond annuel d'heures multi-périodes est passé de 75 à 85 heures (le contrat prévoit une flexibilité liée à l'engagement différent requis selon les saisons). Quant aux heures supplémentaires, les limites sont passées de 12 à 18 heures par semaine.
Du nouveau aussi pour la prévoyance : le nouveau contrat reconnaît une majoration de 50 euros par an, pour chaque salarié, au Fonds de santé pour améliorer les performances.

« Les parties se sont montrées satisfaites d'un accord arrivé à son terme après une longue négociation – commente Confagricoltura – et qui semble avoir permis de trouver un équilibre même dans un cadre économique complexe qui n'est pas simple ».

Aussi pour Textile-Habillement et Mode accord a été trouvé entre Confidustria - système de mode italien et les syndicats du secteur Filctem-Cgil, Femca-Cisl, Uiltec-Uil pour le renouvellement du contrat 31 mars 2016-31 décembre 2019 (plus de 420.000 40.000 travailleurs concernés, employés dans environ XNUMX XNUMX entreprises), qui a expiré il y a près d'un an .

En quelques mots, précise le communiqué syndical, l'accord prévoit une augmentation globale de 90 euros (minimums et prévoyance contractuelle). L'augmentation sur le SMIC est de 70 euros (4e palier), répartie en trois tranches : à partir du 1er avril 2017, 25 euros ; à partir du 1er juillet 2018, 25 euros ; à partir du 1er juillet 2019, 20 euros. 

Du côté de bien-être contractuel, avec effet au 1er janvier 2018, le Caisse complémentaire de santé sectorielle, prévoyant 12 euros pour tous les travailleurs, entièrement payés par les entreprises. Une hausse (+8 euros) est également attendue pour la caisse de retraite complémentaire "Previmoda", là encore entièrement prise en charge par les entreprises. L'élément de péréquation a également augmenté, passant des 200 euros actuels à 300 euros pour toutes les entreprises qui ne mènent pas de négociation de second niveau.

"Nous avons vaincu - disons satisfait je secrétaires généraux Filctem, Femca, Uiltec, Emilio Miceli, Angelo Colombini, Paolo Pirani – celles préjudiciables initialement posées par une vérification ex post, où le salaire ne serait plus défini par le contrat national, trouvant une solution partagée entre les parties et rétablissant ce climat de bonnes relations sociales solides et participatives, qui a caractérisé le secteur dans toutes ces années. Désormais, les revenus de milliers de travailleurs et leur bien-être contractuel sont sauvegardés, après des années où la crise les a décimés. Un secteur – rappellent les trois dirigeants syndicaux – qui, au cours des cinq dernières années seulement, a perdu plus de 100.000 XNUMX emplois ».

Des nouvelles intéressantes en termes de réglementation, à partir du congé parental avec possibilité de fractionner le congé en heures ; il est prévu la mise en place de 30 jours de congé sans solde pour les adoptions internationales ; création du délégué d'entreprise à la formation continue.

 Enfin, une nouveauté également sur le politiques industrielles du secteur elle se matérialise par la mise en place d'un Observatoire commun des politiques de délocalisation des entreprises (« reshoring »).

L'accord stipulé - disent les syndicats - sera conjointement et immédiatement soumis à l'approbation des assemblées ouvrières.

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