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Unioncamere : 120 XNUMX employés de moins au quatrième trimestre

Pour le travail subordonné, le bilan global restera également négatif pour la fin de l'année : près de 120 12 emplois en moins, en partie déterminés par la conclusion physiologique de contrats saisonniers ou à durée déterminée ; XNUMX XNUMX d'entre eux seront des intérimaires ou intérimaires.

Unioncamere : 120 XNUMX employés de moins au quatrième trimestre

Environ 158 91 entrées de salariés - réparties entre 40 27 embauches non saisonnières, 60 218 saisonnières et près de 2012 120 intérimaires - et 12 107 nouveaux contrats de travail "indépendants". Globalement, il y aura donc plus de 2.700 XNUMX "entrées" dans les entreprises industrielles et de services d'ici fin XNUMX. Pour le travail subalterne, le bilan global restera également négatif pour la fin de l'année : près de XNUMX XNUMX emplois de moins, en partie déterminés par les conclusion de contrats saisonniers ou à durée déterminée ; XNUMX XNUMX d'entre eux seront des intérimaires ou intérimaires. Les XNUMX XNUMX employés restants perdus, de nature non saisonnière et saisonnière, sont répartis dans toutes les régions, à l'exception du Trentin Haut-Adige où l'emploi est soutenu par l'arrivée de la saison touristique, où XNUMX XNUMX emplois supplémentaires sont attendus d'ici la fin de l'année.

En termes d'autres formes contractuelles, des réductions d'un peu moins de 12 2012 unités pour les collaborateurs du projet sont signalées Selon l'enquête relative au quatrième trimestre de 2011 par le système d'information Excelsior d'Unioncamere et le ministère du Travail, la demande d'emploi de la (net des intérimaires) est cependant légèrement supérieur aux prévisions des entreprises exprimées pour le quatrième trimestre 17 (le plus mauvais depuis deux ans). Au niveau territorial, dans XNUMX régions, les embauches ont augmenté par rapport au même trimestre l'an dernier. La comparaison des revenus d'une année à l'autre montre également une croissance de la demande dans les secteurs industriels et les services davantage axés sur l'exportation.

Par ailleurs, on note une légère reprise par rapport aux trimestres précédents des CDI et CDD, après la baisse subie au trimestre précédent, et la relance des contrats d'apprentissage, sur lesquels la réforme du travail a misé de nombreuses cartes.

Cependant, un clivage de plus en plus large se dessine entre le travail "stable" (contrat à durée indéterminée, assimilable aussi à la nouvelle formule d'apprentissage) et les autres formes de travail, à la fois subordonnées (contrats à durée déterminée - y compris saisonniers - et intérimaires), et autonomes - occupés (travailleurs de projet, numéros de TVA et travailleurs occasionnels) : compte tenu de 100 du chiffre d'affaires total attendu au quatrième trimestre de l'année, 19 % seront affectés au travail stable et 81 % à toutes les autres formes. A cet égard, il convient toutefois de souligner que les entreprises, interrogées en septembre dans le cadre du système d'information Excelsior et donc pas encore pleinement informées du contenu de la réforme du marché du travail lancée en juillet, nous ont, en répondant, mis en exergue l'état d'incertitude de la situation économique, qui les incite à embaucher, mais leur fait préférer des relations de travail moins contraignantes.

"En planifiant le recrutement de nouveau personnel", a déclaré le président d'Unioncamere, Ferruccio Dardanello, "les entreprises montrent toute l'incertitude de cette phase économique. On a presque le sentiment que le tissu productif, surtout dans les domaines propices à l'exportation, est tenté d'élargir sa base d'emploi mais craint ensuite de faire le pas le plus long en introduisant de manière stable de nouveaux personnels dans ses effectifs ».

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