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Usine de valorisation énergétique des déchets de Rome : « Daje » est né, le Comité de soutien à l'usine. Voici les promoteurs

L'usine de valorisation énergétique des déchets à Rome défendue par un Comité qualifié et non idéologique. Testa, Auci, Tommasi et Filippini parmi les signataires. La polémique instrumentale du M5S monte jusqu'au gouvernement

Usine de valorisation énergétique des déchets de Rome : « Daje » est né, le Comité de soutien à l'usine. Voici les promoteurs

L'usine de valorisation énergétique des déchets de Rome a-t-elle vraiment besoin d'un comité de soutien ? La prise de position de la Cinquestelle contre la construction de l'ouvrage sonne comme une énième provocation (sinon pire) contre l'innovation et les technologies environnementales testées dans la moitié du monde.

Le Comité « Daje » en soutien à l'usine

La réponse est donc oui, l'usine de valorisation énergétique des déchets de Rome doit être soutenue. Le Comité est né, il s'appelle "Daje" et crée un mouvement d'opinion pour soutenir le choix du maire Gualtieri. "La décision de fermer le cycle des déchets avec des décharges est une occasion historique pour la capitale". Enfin, l'appel se lit comme suit : "Le maire Gualtieri ose briser le tabou qui condamne la ville depuis des décennies à être communément liée à l'urgence des déchets".

Annoncer la construction d'ici quatre ans d'une usine moderne de valorisation énergétique des déchets sous contrôle public Rome s'aligne sur le reste des capitales européennes tous équipés de systèmes intelligents d'élimination de la partie non valorisable des déchets. Au milieu, il y a aussi les avantages énergétiques pour les citoyens, comme le montre le cas de Acerra et la revanche de la ville napolitaine grâce au système A2A. Le processus de traitement des déchets produit une énergie propre et Rome en tirera profit dans les années à venir. En revanche, pour ceux qui discutent des possibles effets négatifs sur la collecte différenciée des déchets, il est démontré que les systèmes modernes ne sont pas du tout un obstacle, au contraire ils la font progresser. Ce sont donc des accusations incohérentes qui occultent, de surcroît, les données réelles de la collecte sélective des déchets à Rome.

Usine de valorisation énergétique des déchets de Rome : qui sont les promoteurs du Comité

Parmi les signataires du Manifeste du Comité, il y a des représentants du monde associatif, politique, des journalistes et des entrepreneurs qui ont à cœur le destin de Rome. Avec eux, évidemment, de nombreux "citoyens en ont assez des solutions de fortune coûteuses, précaires, inefficaces et écologiquement non durables dans l'élimination des déchets urbains auxquelles les précédentes administrations capitoliniennes ont rapidement recouru".

Il serait trop évident de rappeler les positions arides sur les usines de valorisation énergétique des déchets d'un ancien ministre de l'environnement ou de la maire Virginia Raggi. Les voix opposées et minoritaires d'aujourd'hui à l'annonce de Gualtieri en ces heures tentent d'élever le niveau de la controverse jusqu'au gouvernement. Mais ce n'est pas une polémique appropriée avec l'économie circulaire et les stratégies de transition verte appréciées en Europe. D'autre part, nous parlons d'un investissement d'environ 800 millions d'euros en vue du Jubilé.

"Nous sommes un groupe ouvert, sans affiliations idéologiques", précisent les promoteurs, "simplement unis par la conviction que pour la propreté et le décorum de Rome, le moment est venu de dépasser l'obstructionnisme d'une idée de l'environnementalisme faite uniquement d'attitudes". fermé et fuyant la réalité. C'est pourquoi nous exprimons notre soutien à la décision du maire d'équiper Rome d'une technologie de valorisation énergétique des déchets".

Voici la liste des premiers signataires :

Chicco Testa, entrepreneur
Monica Tommasi, présidente de l'Association des Amis de la Terre
Rosa Filippini, directrice d'Astrolabio
Patrizia Feletig, présidente de l'Association Copernicienne
Marco Bentivogli, coordinateur national de Base Italia
Marco Taradash, journaliste
Claudio Petruccioli, journaliste
Ricardo Chiaberge, journaliste
Giancarlo Loquenzi, journaliste
Linda Lanzillotta, économiste
Franco Tato, entrepreneur
Ernesto Auci, président de FIRSTonline
Luigi Capello, PDG de LVenture Group
Francesco Talò, diplomate
Alessia Morani, adjointe
Francesco Carpano, conseiller municipal
Angelo Artale, président de la table de qualité de la mairie et directeur général de Finco
Pierluigi Battista, journaliste

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