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Le recyclage du plastique, un engagement qui en vaut la peine : +120.000 2030 utilisations d'ici XNUMX

L'association des entreprises qui recyclent ou régénèrent les matières plastiques post-consommation a pris un instantané du secteur qui fait de l'Italie un leader mondial : voici ce qui en est ressorti

Le recyclage du plastique, un engagement qui en vaut la peine : +120.000 2030 utilisations d'ici XNUMX

La durabilité est un devoir, comme l'a rappelé le Premier ministre Mario Draghi, et au vu des investissements du Pnrr en Italie, c'est déjà en partie une réalité, même si le gros du chemin n'a pas encore commencé. Notre pays figure déjà aujourd'hui parmi les champions d'Europe de l'économie circulaire et notamment le recyclage du plastique: le sujet est brûlant et l'Union européenne a approuvé cet été une directive obligeant les pays membres à adapter leur réglementation pour atteindre l'objectif de réduction de l'impact environnemental des plastiques à usage unique. Celles-ci vont de l'interdiction de la commercialisation d'articles en plastique jetables (cotons-tiges, pailles, etc.) à la réduction de la consommation de produits en plastique jetables (gobelets à boissons, bouchons, emballages à emporter, etc.) jusqu'à la nouvelle objectif de collecte pour les contenants alimentaires liquides (d'une contenance jusqu'à 3 litres) : 77 % d'ici 2025 pour atteindre 90 % d'ici 2029.

Net du fait que le plastique rejeté dans la mer depuis le continent européen ne représente que 1% du total mondial (le gros du problème est la Chine) et qu'en Italie il y a actuellement une controverse sur l'opportunité d'exempter les bioplastiques, à quel point est la situation dans notre pays? Une photographie du secteur est en mesure de le prendre est Assorimap (Association nationale des recycleurs et régénérateurs de matières plastiques), active depuis 1978 pour représenter
les entreprises qui recyclent ou régénèrent les matières plastiques post-consommation, au sein des consortiums nationaux prévus par le
droit et dans d'autres domaines publics et privés. On estime qu'aujourd'hui les entreprises de recyclage qui adhèrent à Assorimap en réintroduisant des déchets, déchets ou restes de matières plastiques régénérées ou recyclées dans le cycle de production, ils traitent environ 90% de la quantité totale produite au niveau national.

Au total, les 300 entreprises impliquées ont une capacité de recyclage installée de près de 2 millions de tonnes, faisant de l'Italie le leader mondial de la technologie et de l'ingénierie des installations pour le recyclage et leader mondial de la qualité de la matière première secondaire (c'est-à-dire issue de la réutilisation du plastique) produite. Cela signifie que le pays est potentiellement en mesure de découpler de plus en plus la croissance économique de la consommation de matières premières et certaines données permettent de le comprendre : pour chaque tonne de plastique recyclé, par rapport à la production avec des matières premières vierges, 1,9 tonne de pétrole ; 1,39 tonne de CO2 émise, 3.000 1 kWh d'énergie consommée, ce qui représente environ XNUMX % des besoins nationaux en électricité et l'électricité requise par une Région comme la Basilicate.

Le recyclage du plastique, toujours selon les données fournies par Assorimap, est également une opportunité économique intéressante. Aujourd'hui, les salariés des entreprises représentées sont déjà près de 10.000 2025, mais on estime que d'ici XNUMX près de 50.000 XNUMX nouveaux emplois pourraient être créés directement dans la chaîne de valeur européenne du recyclage des plastiques, avec plus de 75.000 2030 emplois indirects supplémentaires soutenant le secteur et ses opérations. D'ici 80.000, l'emploi pourrait augmenter substantiellement de 120.000 1 emplois directs et 2025 1,45 emplois indirects. Le tout à moindre coût : conformément aux objectifs de l'UE, les investissements nécessaires aux entreprises italiennes sont d'environ 2030 milliard d'euros d'ici XNUMX et XNUMX milliard d'euros d'ici XNUMX, donc amplement couvrables avec le Pnrr.

« Ces derniers jours, le ministère de la Transition écologique – a commenté à cet égard Walter Régis, président d'Assorimap – publié les décrets sur l'économie circulaire, sur la base des moyens alloués dans le Pnrr. C'est une première étape dans la construction de procédés industriels de plus en plus durables. Les 1,5 milliard d'euros prévus pour la construction de nouvelles usines de traitement des déchets et la modernisation des usines existantes, ainsi que les 600 millions pour la construction de projets phares, constituent un levier pour le développement de la filière. Désormais, l'espoir est que les notices soient véritablement accessibles aux entreprises, loin de toute lourdeur bureaucratique, sur la base de procédures allégées et simplifiées. Ce sera un facteur décisif pour l'implication des entreprises sans barrières d'accès, pour marquer un changement radical de rythme. Les entreprises qui opèrent dans la filière du recyclage du plastique sont au cœur de l'économie circulaire et demandent donc que soit créé le terrain pour qu'elles puissent grandir dans l'intérêt du pays ».

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