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Pour les partis, ce n'est plus "tout la faute à l'euro". Mais ce n'est pas une bonne nouvelle

Il semble que la tendance des partis politiques italiens à critiquer l'euro (et l'Union européenne elle-même) ait diminué à l'approche des élections. Mais arrêter de s'attaquer à la monnaie unique et à ses règles ne suffit pas : tout gouvernement qui quittera les urnes le 4 mars sera appelé à pré

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