La Bourse de Milan légèrement en dessous de la parité, tandis que le BTP a fait marche arrière. Le ministre du Trésor, Giovanni Tria, a calmé l'humeur des marchés après qu'hier le vice-Premier ministre de Grillino, Luigi Di Maio, avait évoqué la possibilité de porter le déficit du PIB 2019 même au-delà de 2%. « Il n'y a pas de croissance de l'instabilité – a déclaré Tria mercredi matin lors d'un événement de Confcommercio – j'ai juré dans l'intérêt exclusif de la nation, pas des autres. Et il n'y a pas que moi qui ai juré." Di Maio avait aussi menacé de ne pas voter sur le document économique et financier – qui contiendra les lignes directrices de la manœuvre – sans le feu vert du Trésor pour une intervention courageuse pour le revenu de base. Ce n'est pas un hasard si Tria a confirmé que la mesure phare du programme économique grillino sera manœuvrée et "aidera à gérer les conséquences sociales des processus de transformation de la production".
L'intervention du ministre de l'Economie sur l'importance de la stabilité des comptes a cependant suffi à rétablir la sérénité sur le marché de la dette italienne. Le Le rendement à 2,82 ans tombe à 2,90 % contre XNUMX % ce matin, contre 2,87% de fermeture. L'écart entre l'Italie et l'Allemagne sur la période de dix ans vaut 232 points de base contre 235 à la clôture d'hier après un début à 236. Le rendement à deux ans est tombé à 0,79 % contre 0,84 % à la clôture d'hier.
Bon la vente aux enchères de robots: Le Trésor a placé l'ensemble des six milliards d'euros d'obligations semestrielles avec un taux en baisse. Le rendement moyen est tombé à 0,206% contre 0,438% du placement fin août. La demande a ralenti à 9,857 milliards d'euros contre 11,23 lors de l'adjudication d'août, avec un taux de couverture en baisse à 1,64 contre 1,87 précédemment.
La performance des titres de dette italiens est la note la plus pertinente de la séance, dans l'attente des décisions de la Fed qui seront communiquées à 20 heures, heure italienne. Francfort et Londres perdent 0,1%, léger gain pour Paris +0,1%, Madrid stable.
Le dollar a peu bougé face à l'euro, coté à 1,770, sur les niveaux atteints lundi après le discours de Mario Draghi au Parlement européen.
Il le pétrole reste au plus haut depuis quatre ans au-dessus de 81 dollars après le discours de Donald Trump aux Nations unies contre l'Iran. Ils consolident les aigus Eni (+ 0,34%) et Saipem (+ 0,23%). Tenaris il perdait 0,6% à 14,74 euros. Le groupe a annoncé l'achat de 48% de Saudi Steel Pipe pour une valeur de 144 millions de dollars, avec une prime de 4% sur les cotations d'hier. L'opération permet à Tenaris de renforcer sa présence au Moyen-Orient.
Après l'avertissement sur résultats lancé hier par BMW, le secteur automobile continue de peiner : signe moins par exempleFiat Chrysler (-0,48), plat Exor et Ferrari.
En forte baisse Tim (-2,76 %) ; la vente de Sparkle a été gelée. La neuvième journée d'appels d'offres pour les fréquences 5G s'est achevée sur un montant total d'offres à 5,15 milliards, soit plus du double du revenu minimum fixé dans la loi de finances pour 2018.
stm -0,3 %. Deutsche Bank relève son jugement, objectif de cours à 20 euros.
En lettre, mais sans à-coups particuliers, les banques. Unicredit, au centre des rumeurs de Sole24 Ore sur une fusion internationale en 2019, cède environ un demi-point de pourcentage. Pire Intesa (-0,6%).
Les résultats sont payants Danieli (+2,3%). Le groupe sidérurgique clôture l'exercice 2017/2018 avec des revenus et des bénéfices en croissance (+9 et +7% respectivement) mais proposera la distribution d'un dividende de 0,1 euro par action ordinaire et de 0,1207 euro par action d'économie, inchangé par rapport à un an plus tôt. . Un coupon "encore bas" admet la note de l'entreprise "pour maintenir à un niveau élevé les investissements dans la recherche et l'innovation". Au 30 juin, la position financière nette est positive de 836,7 millions, contre 912,5 millions un an plus tôt.