Il faut de la prudence et du bon sens pour la Libye : donc non à une intervention militaire italienne les yeux fermés. C'est ce que le Premier ministre, Matteo Renzi, a réitéré une fois de plus aujourd'hui, invitant la parole et les actes à prendre des mesures.
Une éventuelle intervention militaire italienne en Libye, qui n'est pas à l'ordre du jour aujourd'hui, ne peut être décidée - a précisé Renzi - que si le gouvernement libyen légitime le demande et seulement s'il y a un vote à cet effet par le Parlement.
En bref : d'abord une stratégie politique pour la Libye à convenir au niveau européen et international et seulement après d'éventuelles interventions militaires.
Renzi a également confirmé que nos deux compatriotes enlevés puis relâchés hier en Libye rentreront en Italie dans les prochaines heures.