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Liberté d'entreprendre : nouveau tour de table dans l'hémicycle l'après-midi

Aujourd'hui reprend le débat sur le projet de loi constitutionnelle qui a pour objet la révision de certaines dispositions concernant la Constitution dite économique - Il s'agit de modifier les articles 41, 45, 97 et 118 de la Charte pour favoriser la libre activité entrepreneuriale.

Liberté d'entreprendre : nouveau tour de table dans l'hémicycle l'après-midi

Nous revenons à parler de la liberté d'entreprise. Après la pause de mercredi dernier, le débat sur le projet de loi constitutionnelle qui a pour objet la révision de certaines dispositions concernant la Constitution dite économique a repris dans l'après-midi à l'hémicycle. Un projet de loi visant notamment à encourager la liberté d'activité économique. L'objectif est de modifier les articles 41, 45, 97 et 118 de la Constitution.

Dans le détail, l'article 41 établit la garantie constitutionnelle de la liberté d'initiative économique privée, qui s'étend également à la liberté d'activité économique, à comprendre comme un moment ultérieur de développement lié à la phase initiale de choix de l'activité elle-même.

Le troisième alinéa de l'article est alors entièrement réécrit par un amendement introduit lors de l'examen en commission, selon lequel la loi et les règlements régissent les activités économiques dans le seul but d'empêcher la formation de monopoles publics et privés et, ajouté par un amendement approuvé par l'Assemblée, dans le respect du principe de la libre concurrence.

Enfin, il établit que la loi est conforme aux principes de confiance et de collaboration loyale entre les administrations publiques et les citoyens, prévoyant généralement des contrôles ultérieurs. Lors de l'examen en Commission, une intégration du deuxième alinéa de l'art. 45 de la Constitution concernant la protection législative de l'artisanat, d'étendre son champ d'application également aux petites entreprises.

Quant à l'article 97, relatif à l'administration publique, il est précisé que les fonctions publiques sont au service des libertés et des droits des citoyens et du bien commun et l'exercice, même indirect, de ceux-ci est réglementé de telle manière que leur efficacité, efficacité, simplicité et transparence.

La modification du quatrième alinéa de l'article 118 concerne la soi-disant subsidiarité horizontale, établissant que l'État et les autres entités territoriales exercent les activités qui ne peuvent être adéquatement exercées par des citoyens seuls ou associés.

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