Partagez

Fiscale, la Cisl propose des primes de 1.000 40 euros pour les revenus jusqu'à XNUMX mille neuf cent impôts sur la première habitation

Initiative de loi populaire présentée par le deuxième syndicat italien à la Cour de cassation – « Nous disons non – a expliqué Furlan – aux impôts sur les premières résidences. Pas dans des villas ou des châteaux, mais dans la maison normale d'un travailleur ou d'un retraité normal".

Fiscale, la Cisl propose des primes de 1.000 40 euros pour les revenus jusqu'à XNUMX mille neuf cent impôts sur la première habitation

La cheffe de file de la Cisl, Annamaria Furlan, a déposé ce matin devant la Cour de cassation de Rome les signatures pour promouvoir une nouvelle loi d'initiative populaire "pour une fiscalité plus juste et plus juste". Il s'agit surtout garantir un bonus fiscal de 1.000 XNUMX euros par an pour les travailleurs, les retraités et les inaptes et supprimer la fiscalité sur les résidences principales. "Nous disons non – a expliqué Furlan – aux taxes sur les premières résidences. Pas dans des villas ou des châteaux, mais dans la maison normale d'un travailleur ou d'un retraité normal".

Quant à trouver des ressources, Furlan a suggéré d'utiliser « le conflit d'intérêts pour traquer l'évasion fiscale. Nous demandons que le conflit d'intérêts soit étendu à d'autres secteurs, en plus du secteur de la construction, comme les services à la famille". Mais ce n'est pas tout : de plus, les ressources pour soutenir la loi d'initiative populaire promue par la CISL pourraient également provenir d'un impôt sur la grande fortune nette. En pratique, selon ce que propose la CISL, « une petite contribution de solidarité que nous demandons à ceux qui sont plus riches, à ces 4 % de familles qui détiennent plus de 50 % de la richesse en Italie. Ces familles sont appelées à apporter une petite contribution en faveur de ceux qui ont le plus souffert des effets de la crise".

Se référant aux décrets d'application du Jobs act, Furlan a ensuite défini le nouveau CDI de "positif" "alors que trop peu a été coupé sur les formes de précarité dans lesquelles le Gouvernement a fait preuve de peu de courage". L'absence de dispositif de réintégration pour les licenciements collectifs "lorsque l'entreprise ne respecte pas les règles" a également été rejetée. Pour la CISL c'est "une chose inutile" qui "va créer des tensions à l'intérieur et à l'extérieur des usines".

Passez en revue