"Ferrero n'est pas à vendre". Un démenti clair et sec, celui du centre de confiserie d'Alba, qui suit de près les indiscrétions publiées aujourd'hui par « la Repubblica », relatives à une offre de rachat de Nestlè : « Nous n'avons aucune négociation en cours avec qui que ce soit. La nouvelle rapportée par les journaux, même si elle est sans fondement, est inventée de toutes pièces ».
Selon le journal romain, Ferrero se serait retrouvé dans le collimateur du géant suisse et une négociation serait en cours, encore "dans une phase embryonnaire et délicate". Selon les rumeurs, Banca IMI se chargera de l'opération.
Mais le deuxième démenti de la matinée est venu précisément de la banque d'investissement du groupe Intesa Sanpaolo : "Nous n'avons connaissance d'aucune transaction impliquant Ferrero et Nestlè et il n'y a aucun contact formel ou informel avec aucune des parties mentionnées dans l'article, en rapport aux hypothèses rapportées ».