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Clôture des bourses le 24 mai : Piazza Affari (-2,4%) est la pire d'Europe en raison de l'avertissement de l'UE, des taux de la BCE et de la dette américaine

L'indice Ftse Mib passe sous le seuil psychologique de 27 mille points de base : dans le rouge fort Mps, Stm, Pirelli, Leonardo - Mediobanca à contre-courant après la présentation du plan et la promesse de riches dividendes

Clôture des bourses le 24 mai : Piazza Affari (-2,4%) est la pire d'Europe en raison de l'avertissement de l'UE, des taux de la BCE et de la dette américaine

Le spectre de Utilisation par défaut agite chaque jour davantage les marchés, alors que l'inflation britannique déçoit et alimente les craintes sur les prochains choix des banques centrales, attendant ce soir, à 20h (heure italienne), la Fed pour publier le compte rendu de sa dernière réunion.

Le Places européennes clôturent ainsi dans le rouge profond, après avoir consolidé les pertes suite au faible début de Wall Street.

Place Afari c'est le plus mauvais et chute de 2,39%, abandonnant 27 26.524 points de base pour s'arrêter à XNUMX XNUMX points. Les pertes touchent pratiquement tous les secteurs, mais les banques sont particulièrement pénalisées. C'est une exception Mediobanca, +1,92%, meilleure blue chips du jour, après la présentation du nouveau plan industriel jusqu'en 2026 qui voit des revenus de 3,8 milliards en juin 2026 (+6% en moyenne annuelle) et une rémunération totale des actionnaires supérieure aux attentes, à 3,7 milliards (+70%).

Dans le reste de l'Europe Francfort recule de 1,92 %, Parigi de 1,7 %, Londra -1,74% Amsterdam -1,55% Madrid -1,07%.

Reprise des négociations sur la dette ; Yellen optimiste

Les négociations sur le relèvement de la Plafond de la dette américaine ils ont repris dans la matinée américaine, même si ces derniers jours les rencontres n'ont pas donné de grands résultats.

Le secrétaire au Trésor Janet Yellen, il semble pourtant optimiste. Yellen confirme les prévisions de son département, affirmant qu'il est "presque certain" que les États-Unis feront défaut début juin, sans accord entre républicains et démocrates, mais s'exprimant lors d'un événement à Londres organisé par le Wall Street Journal, elle se dit également "confiante". , car un accord "est encore possible".

Dans l'intervalle, cependant, les rendements des bons du Trésor à court terme continuent d'augmenter, le taux obligataire à un mois atteignant un nouveau record historique de 5,8920 %, également parce qu'un accord entraînerait de toute façon de nouvelles dettes et que les marchés ne pas comme ça.

A remuer les eaux de l'Europe d'aujourd'hui ont contribué alors lesInflation britannique et le moral des entreprises allemandes.

Les prix à la consommation en Grande-Bretagne ils ont augmenté de 8,7 % en avril en termes annuels, contre 10,1 % en mars, mais plus que prévu et au plus haut niveau parmi les économies du G7 avec l'Italie.

En mai, cependant, il est descendu là-bas'indice ifo qui mesure la confiance des entreprises allemandes : 91,7, contre 93,4 en avril et contre attentes à 93.

Enfin, à la liste des préoccupations occidentales, on pourrait ajouter le fait que le Premier ministre russe a déclaré avoir signé une série d'accords avec le Chine lors d'un voyage à Pékin et que les relations entre les deux pays sont aujourd'hui à un niveau jamais atteint auparavant.

Pétrole en poussière avec baisse des stocks américains

Le marché des changes est platEuro dollar à 1,0766, tandis que le dollar néo-zélandais perdait plus de 2% face à la devise américaine après que la banque centrale du pays a annoncé la réalisation du pic sur les taux.

Retour le GBP, qui s'affaiblit contre euro et billet vert.

Parmi les matières premières coule le huile, avec des contrats à terme sur le Brent et le WTI en hausse de 2 %. Un gros coup de pouce aux prix est venu de la baisse hebdomadaire des stocks américains, la plus importante depuis novembre dernier : -12,456 millions de barils à 455,168 millions d'unités, selon les données publiées par le Département de l'énergie, contre des attentes d'une hausse de 0,7 million de barils. Le ministre saoudien de l'Energie a peut-être aussi contribué à alimenter la spéculation, disant "faire attention" aux commerçants qui misent sur la baisse des prix. Pour certains investisseurs, les mots cachent la possibilité que l'OPEP+ envisage de nouvelles réductions de production lors de sa réunion du 4 juin.

Le prix de gaz à Amsterdam, en revanche, il baisse de plus en plus : -4,8%, 27,73 euros par Mwh. 

Piazza Affari : seulement quatre blue chips en hausse

La courte liste des blue chips de Place Afari jusqu'à aujourd'hui comprend, en plus de Mediobanca, Prysmian +0,46%, qui profite des indications positives fournies par le top management du groupe lors de la rencontre de trois jours des principales sociétés cotées avec la communauté financière, organisée par Kepler-Cheuvreux à la tour Unicredit. Les prix du brut se maintiennent à flot Tenaris +0,24% ​​ed Eni +0,03%, mais pas assez pour économiser Saipem d'une baisse de 4,53 %.

La longue liste des grandes capitalisations en rouge commence à partir de Mont Paschi, -7,1%, qui rembourse la lourde facture du rallye de ces derniers jours.

Dans le secteur bancaire, ils sont également largement négatifs Bper -4,29% et Unicredit -4,19%.

La séance est à oublier pour le secteur automobile : Pirelli -5,03% et stellante -4,06%.

Les technologues descendent avec stm -5,42%.

Et même la défense ne tient pas ses digues : Leonardo il baisse de 4,99%, pénalisé selon certains observateurs par le bras de fer sur la dette américaine, avec le risque que les ressources s'épuisent aussi pour l'armement. La relégation du titre par Goldman Sachs pèse également, ce qui l'a conduit au neutre dès l'achat.

Répartir légèrement vers le haut

Lo propagation a clôturé en légère hausse à 187 points de base (+0,72%). Les rendements ont peu évolué : le BTP 10 ans est indiqué à +4,32%, tandis que le Bund de même duration est à +2,45%.

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