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Bourse : Ferrari grince à Milan, Generali et Tim sont en baisse. Boom de Twitter (+25%) sur le Nasdaq

Bourses en territoire positif en Europe et aux USA. Ferrari brille à Milan mais aussi Leonardo et Moncler - L'entrée en vigueur de Musk fait voler Twitter au Nasdaq

Bourse : Ferrari grince à Milan, Generali et Tim sont en baisse. Boom de Twitter (+25%) sur le Nasdaq

La guerre sanglante en Ukraine et les nouvelles sanctions que l'UE imposera à la Russie en conséquence maintiennent les listes de prix continentales en haleine, ce qui met fin à une séance nerveuse mais finalement modérément positive.

Ils montent Parigi + 0,7% Francfort + 0,5% Londra + 0,27% Madrid +0,17 %. Le pire est Place Afari, qui reste quasiment inchangé +0,05%, avec des blue chips équilibrés entre achats sur Ferrari et Moncler et ventes sur Generali et Telecom. Le carré de la reine est Amsterdam, +1,3%, dans le sillage des big tech américaines.

Dans l'après-midi, le début d'une a contribué à améliorer le sentiment sur les marchés européens Wall Street, en particulier le Nasdaq qui gagne actuellement 1,5 %, traîné par Twitter (+25,2%) après l'annonce qu'Elon Musk est devenu l'un des principaux actionnaires de l'entreprise, avec le rachat de 9,2% du capital (pour une valeur d'environ trois milliards de dollars).

L'euro en baisse en raison des nouvelles sanctions de l'UE

Sur le marché des devises, l'euro est en baisse face au dollar, avec un croisement autour de 1,099. La monnaie unique est sous la pression de sanctions supplémentaires que la Commission européenne s'apprête à mettre sur la table pour faire pression sur la Russie. Même l'interdiction du gaz à Moscou ne serait plus un tabou, même si l'Allemagne et l'Autriche s'opposent à cette hypothèse.

En attendant des nouvelles le gaz reste à la fenêtre et traite peu de mouvement, tandis que les contrats à terme sur le pétrole montent avec le Brent en hausse de 3,04% à 107,56 dollars le baril et le Wti en hausse de 3,3% à 102,62 dollars le baril. De nombreux autres produits de base sont également dans le vert, de l'or, qui se négocie autour de 1934,50 XNUMX $ l'once, aux produits agricoles.

Piazza Affari plombée par Generali et Telecom

Ce sont les rouges de Maranello qui remportent la course d'aujourd'hui sur la Piazza Affari, où les actions Ferrari ils ont clôturé à 209,50 euros avec un gain de 4,99%. Très bien aussi Moncler, + 3,71 %, Leonardo + 2,68% A2a + 2,23% Recordati +2,43 %. Au générique elle danse toute seule Banco Bpm +2,14%, dans un secteur modérément négatif.

Lester le tarif c'est avant tout Général, -3,84%, plombé par les réalisations après une phase d'effervescence au cours de laquelle il a atteint son plus haut niveau depuis 2008 en vue du bilan comptable de fin avril.

Confirmé en rouge Télécom, -1,92%, pénalisé par les incertitudes sur l'éventuelle OPA de Kkr. Reuters, citant une source, écrit que "le fonds dira dans une lettre attendue aujourd'hui qu'il ne procédera pas à une offre formelle à moins que Tim n'accorde une diligence raisonnable, qui est devenue cruciale à la lumière de l'évolution de la situation du marché". Perdre de l'altitude Snam, -2,58%, après la relégation à "vendre" par Citigroup. De plus, vendredi dernier, les listes pour le renouvellement du conseil d'administration ont été déposées et l'actuel PDG, Marco Alverà, laissera le poste au numéro un de Hera (+0,8%) Stefano Venier.

Citi a également pratiqué sur Terna-0,91%, ramenant l'opinion sur le titre à neutre, mais faisant passer l'objectif de cours de 7,7 à 8 euros.

Hors du panier principal, la victoire dans le match de championnat permet au As Roma +3,59% pour marquer des buts aussi en bourse.

Se propage

Le secondaire italien ferme en rouge, où le propagation entre les BTP 10 ans et les Bunds de même duration, il monte à 155 points de base (+0,98%) avec des rendements de respectivement +2,07% et +0,52%.

Dans un contexte de ralentissement de la croissance économique dû à la guerre, mais avec les mains liées de la BCE du fait de la course à l'inflation, le moral des investisseurs de la zone euro s'est effondré, à son plus bas niveau depuis près de deux ans en avril. L'indice Sentix pour la région est tombé à -18,0 contre -7,0 en mars, à son plus bas depuis juillet 2020. Un sondage Reuters avait indiqué une lecture de -9,2. Selon Sentix, le conflit, les sanctions et les incertitudes qui y sont liées plongeront l'économie de la région dans une récession au deuxième trimestre de l'année. "Les investisseurs ne s'attendent pas à ce que la banque centrale se précipite à la rescousse avec une politique monétaire plus détendue et expansionniste, compte tenu du rythme toujours important de croissance de l'inflation", lit-on dans une note. Le moral décline à l'échelle mondiale, mais nulle part aussi prononcé que dans la zone euro. "Aucune région n'est en mesure de résister à la tendance négative pour le moment, même l'importante région d'Asie est déjà aux prises avec la stagnation."

Sur le front américain, je Titres du Trésor américain alarmé par l'inversion de la courbe des taux, entre court et long. Aujourd'hui encore, l'obligation à deux ans affiche un taux plus élevé que l'obligation à 10 ans.

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