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Banques : recours à la baisse de l'Abf, les clients récupèrent 31 millions mais le contentieux sur les paiements électroniques monte

En revanche, les recours auprès du Financial Banking Arbitrator contre les banques étrangères, la monnaie électronique et les instruments de paiement se sont multipliés

Banques : recours à la baisse de l'Abf, les clients récupèrent 31 millions mais le contentieux sur les paiements électroniques monte

Aux épargnants italiens qui ont fait appel en raison de problèmes bancaires ou financiers, ils ont été retournés l'année dernière 31 millions d'euros (contre 29 millions en 2020), dont plus de 20 millions ont effectivement été restitués aux clients par des intermédiaires.
Le rapport annuel sur l'activité menée par leArbitre bancaire et financier (l'organe mis en place par la Banque d'Italie pour régler les litiges entre intermédiaires bancaires et clients) précisant que la durée moyenne de la procédure était de 137 jours, donc inférieure aux 180 jours prévus par la législation et que 85% des procédures ont été menées à bien dans ce délai.

L'année 2021 a été caractérisée par une diminution (-28 %) du nombre de recours présentés (plus de 22.300 XNUMX) et par une redistribution de celui-ci par matière.
Depuis 2015, plus de 135 millions d'euros ont été reconnus.

Les recours aux banques étrangères et aux établissements de monnaie électronique se multiplient

Dans le détail, le rapport de la Bnaca d'Italia note qu'en 2021, le nombre de recours auprès des banques étrangères et des établissements de monnaie électronique a augmenté respectivement de 29 et 55 %, ce qui peut être considéré comme faisant partie d'une redistribution importante des recours par sujet.
Selon le rapport, les litiges au sujet de services et outils de paiement (de 52 %), également en raison de la plus grande diffusion des paiements numériques pendant la période d'urgence sanitaire.

En revanche, la baisse des contentieux concernant les bons d'épargne postale (-31%) et les prêts garantis sur salaire (Cqs) (-55%) se poursuit, même si ces derniers continuent de représenter le plus grand nombre de recours reçus (environ 34% du total).
Plus de 27.400 48 décisions ont été prises par les Collèges : dans la plupart des cas, l'issue a été l'acceptation totale ou partielle des demandes (17 %), ou la déclaration de cessation de l'affaire litigieuse en raison de l'accord intervenu entre les parties (XNUMX %).

Les collaborations avec les arbitres Ivass et Consob se multiplient

Les nouvelles dispositions ABF sur la procédure ont été appliquées (alignées sur la directive UE/2013/11 transposée dans le décret législatif 130/2015) et le nouveau montant pouvant être demandé à l'arbitre (doublé et porté à 200.000 XNUMX euros).
La collaboration avec l'Institut pour la surveillance des assurances (IVASS) en vue de la création de l'Arbitre des assurances, également par des échanges de travail entre le personnel de la Banque d'Italie et celui de l'IVASS. Et le protocole d'accord de mars 2020 a également été mis en œuvre avec l'Arbitre des litiges financiers (ACF) mis en place à la Consob.

Supervision de la BCE : les prêts non performants des banques chutent à 1,95 %, au plus bas depuis 2015

Aujourd'hui, les données sur le prêts non performants (Npl) des banques supervisées par la BCE qui affichait encore une diminution, comme le montre son bulletin statistique trimestriel de la Supervision. Les données agrégées au 31 mars montrent que les prêts non performants par rapport au total des prêts sont en baisse à 1,95% (le niveau le plus bas depuis le début des enquêtes statistiques de surveillance du deuxième trimestre de 2015) de 2,06% au trimestre précédent même si les encours sains les plus susceptibles de se déprécier, ceux définis comme "stage2", continuent de croître et atteignent 9,28% du total (9,14% au trimestre précédent).

La BCE, d'autre part, montre également un affaiblissement de la ratio de fonds propres agrégé (Cet1) à 14,98 % au premier trimestre (au lieu de 15,57 %). Les graphiques ci-joints montrent que les banques italiennes sont légèrement en dessous de la moyenne de la zone euro pour ce ratio par rapport à la meilleure qualité, mais il est légèrement au-dessus de la moyenne à la fois si l'on considère le ratio Tier1 et si l'on regarde le ratio de capital total. 

Sur la liste de la Borsa Milano ce sont les banques qui pèsent. Banco Bpm à mi-séance, il a chuté de 2,12% à 2,537 euros après avoir perdu jusqu'à 4% au début, Bper perd 3,58% à 1,46 euros, Unicredit 1,23% à 9,38 euros, alors que Intesa Sanpaolo il baisse de 0,61% à 1,75 euros

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