"J'ai dit au gouvernement français qu'il n'y a pas de forclusion de la part du gouvernement italien au cas où Air France déciderait d'augmenter sa participation dans Alitalia". C'est ce qu'a déclaré le ministre des Transports Maurizio Lupi après la rencontre avec son homologue français Frédéric Cuvillier à Paris.
Le ministre a ajouté qu'il y a deux conditions : la première concerne le caractère stratégique d'Alitalia en tant que transporteur international et la seconde se réfère à l'emploi. « Nous surveillerons » a-t-il conclu.