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Terna, Coldiretti et Anbi : accord pour le développement durable

Signature de l'accord sur la stratégie d'action commune pour l'optimisation des ressources d'irrigation et l'efficacité énergétique.

Terna, Coldiretti et Anbi : accord pour le développement durable

Un protocole d'accord avec lequel les parties concernées s'engagent à identifier une stratégie d'action pour évaluer d'éventuelles initiatives d'intérêt commun visant à optimiser les ressources d'irrigation, l'efficacité énergétique et la protection des territoires.

Les principaux domaines de collaboration définis par le Protocole concernent, d'une part, la conception d'une stratégie visant à maximiser les bénéfices découlant de l'utilisation de la ressource irriguée par une gestion polyvalente. L'accord prévoit également l'engagement des signataires d'identifier les actions visant à l'utilisation optimale et efficace des réseaux d'eau et des réservoirs pour l'hydro-alimentation, l'irrigation et les usages énergétiques.

L'ANBI, à son tour, est engagé dans l'évaluation des opportunités liées à l'utilisation hydroélectrique des ressources d'irrigation, en les combinant avec les besoins prioritaires des entreprises agricoles et avec la durabilité environnementale.

L'ANBI et Terna vont donc tout d'abord mettre en place un groupe de travail ad hoc composé de leurs représentants respectifs, afin d'identifier des hypothèses de gestion de la ressource en eau permettant l'utilisation hydroélectrique des centrales déjà existantes qui doivent être adaptées ou modernisées pour assurer meilleure efficacité. Dans une deuxième phase, ANBI et Terna évalueront la mise en œuvre d'éventuelles initiatives visant à activer la production d'énergie hydroélectrique suffisante pour permettre l'autonomie énergétique des consortiums de récupération.

La Coldiretti, en cohérence avec sa mission institutionnelle visant à développer une utilisation plus efficace des ressources naturelles, à contrer les effets du changement climatique et à valoriser l'usage multiple de l'eau dans une perspective d'efficacité énergétique, s'engage à collaborer car toutes les actions entreprises par la divers acteurs institutionnels respectent les principes de durabilité environnementale, pour préserver le patrimoine rural italien et promouvoir la conservation de la biodiversité, typique de notre agriculture.

Luigi Ferraris, PDG et directeur général de Terna déclare : « Pour Terna, qui place la durabilité au cœur de ses stratégies d'investissement, la collaboration avec ANBI et Coldiretti est une excellente opportunité de contribuer davantage au processus de transition énergétique en cours. L'union des secteurs de l'eau et de l'énergie, en effet, pourra créer de grandes synergies et apporter des avantages aux utilisateurs d'électricité et aux territoires, avec de nouveaux projets capables de générer de la valeur pour tout le pays ».

« L'accord signé entre l'ANBI, Coldiretti et Terna – commente Francesco Vincenzi, président de l'ANBI – confirme le rôle que les consortiums de récupération et, plus généralement, l'agriculture peuvent jouer dans le domaine de la modernité. L'accord conclu ouvre de nouvelles opportunités dans le domaine de la durabilité énergétique et de l'optimisation de l'utilisation des ressources en eau dans l'intérêt de la protection de l'environnement et de l'économie du secteur primaire. L'avenir ne peut naître que du partage d'objectifs communs entre des sujets de natures différentes, mais avec une sensibilité commune pour la valorisation du territoire et de ses ressources vertes ».

« Au cours des 10 dernières années – explique Roberto Moncalvo, président de
Coldiretti – en Italie, le changement climatique a causé des dommages à
plus de 14 milliards d'euros et la situation ne semble pas montrer de signes d'amélioration
amélioration, étant donné que nous sommes confrontés à des événements de plus en plus extrêmes
avec des crues soudaines après des mois et des mois de sécheresse. ET
tandis que 2017 a été l'année la plus sèche en Italie depuis 1800 avec
des pluies inférieures de plus de 30% à la moyenne de la période, d'autre part
sont encore sous les yeux de toutes les images dramatiques de
inondations fluviales en Émilie-Romagne. Face à cette situation est
nécessaire de mettre en place toutes les stratégies possibles pour
rationaliser et rendre la gestion de l'eau plus efficace à la fois
d'un point de vue irrigation que d'un point de vue énergétique. Nous devons développer
un système qui garantit la réponse aux besoins de nos communautés
et, en même temps, aider à réduire l'impact du changement
changement climatique sur nos territoires et nos vies ».

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