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Télécom, record à la réunion : 66,77% du capital présent

L'assemblée générale des actionnaires de Telecom Italia est en cours à Rozzano (Milan), qui devra opérer un changement dans la future gouvernance du groupe de télécommunications. Franco Bernabè a ouvert les débats. Actionnaires (même petits) en poste, nous décidons aujourd'hui du challenge entre Elliott Fund et Vivendi. Le rôle du Cdp – VIDEO.

Télécom, record à la réunion : 66,77% du capital présent

L'assemblée générale des actionnaires de Telecom Italia a commencé, décisive pour le contrôle futur de l'entreprise de télécommunications, appelée à délibérer sur la composition du conseil d'administration qui dirigera l'entreprise. Le conseil d'administration actuel, dont il pousse le renouvellement l'actionnaire majoritaire Vivendi (qui détient 23,94 % du capital), est composé du président sortant Arnaud de Puyfontaine, de l'administrateur délégué Amos Genish et du vice-président Franco Bernabé, qui dirige les travaux de la réunion qui se tient à Rozzano, près de Milan.

Assemblée très suivie : les actionnaires présents sont près de 4.200 66,7735 et représentent les deux tiers du capital social, pour être précis XNUMX%, une participation très élevée et même supérieure à la participation déjà élevée du 24 avril dernier. A l'ouverture des débats, le président en exercice, Franco Bernabè, a rappelé que les actionnaires concernés sont Vivendi avec 23,94% du capital, Paul Singer avec 8,85% du capital (via le fonds Elliott) et Cassa Depositi and Loans avec 4,78% % du capital. Le fonds Elliott vise à rejoindre le conseil d'administration, pour lequel il soumet sa propre liste au vote des actionnaires qui verrait 10 nouveaux noms au conseil d'administration, avec Fulvio Conti président et Amos Genish confirmé PDG.

La prédiction est que l'assemblée d'aujourd'hui pourrait décréter une premier virage vers l'entreprise publique, avec le raid du fonds Elliott, soutenu par le Cdp, qui pourrait évincer le français Vivendi de la gouvernance du groupe TLC. Parmi les projets d'Elliott, il y aurait celui d'améliorer le réseau Telecom (le précieux dernier kilomètre en cuivre), le revendre et le fusionner avec Open Fiber. Cela donnerait naissance à une "Terna" du réseau fibre avec pour mission de projeter l'Italie dans le futur proche d'un monde à 100 Giga. Le sentiment est que l'inertie est du côté des Américains soutenus, d'après les premières interventions de petits investisseurs, voire de petits actionnaires.

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Faire dialoguer les deux rivaux - Elliott et Vivendi - n'est pas facile et bien que ce soit la tentative du directeur général Amos Genish - qui c'est agréable aux deux parties mais il menace de quitter le groupe si son projet industriel n'est pas soutenu par les vainqueurs, quels qu'ils soient – ​​il risque de laisser les deux insatisfaits. Dans l'après-midi vote décisif sur le renouvellement du conseil d'administration.

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