L'ancien premier ministre a annoncé qu'il choisirait En Marche pour les prochaines réunions législatives en juin. "Le parti socialiste est mort". Mais la commission d'investiture précise : "l'investiture n'est pas automatique".
La Bourse de l'élection présidentielle française voit la position d'Emmanuel Macron se renforcer : l'ancien ministre de l'Economie reçoit l'aval important de son premier ministre d'alors (qui décharge donc le candidat du Parti socialiste Benoit Hamon), et est désormais de plus en plus en tête...
Le représentant de l'aile la plus radicale du Parti socialiste a arraché le modéré Valls remportant 58% des préférences aux primaires - Sa victoire, cependant, selon les sondages n'aide pas la course déjà compliquée vers l'Elysée de la gauche
Étonnamment, l'ancien premier ministre, favori à la veille, a été devancé au premier tour par le dissident Hamon, membre de l'aile la plus radicale du Parti socialiste - Montebourg hors jeu, qui vous invite pourtant à voter pour Hamon - Scrutin le dimanche 29 janvier.
Primaires tenues aujourd'hui en France pour choisir le candidat du centre gauche à la prochaine élection présidentielle après le retrait de Hollande - Tous les candidats en lice
Jusqu'ici ministre de l'Intérieur, il est appelé à remplacer le sortant Manuel Valls, candidat aux primaires socialistes pour la présidentielle de l'an prochain.
Le Premier ministre a annoncé sa démission : il se présentera aux primaires de centre gauche pour le compte du Parti socialiste français, après la démission du président sortant Hollande.
Dans la matinée, Ségolène Royale, ministre de l'Ecologie et des Transports, avait déjà déclaré dans un entretien télévisé qu'Air France devait suspendre le plan pour permettre la reprise du dialogue avec les syndicats.
Valls s'est adressé à la fois à l'Allemagne et à la Commission européenne à Bruxelles dans son discours de politique générale devant le Parlement français. "Nous refusons l'austérité pour défendre les plus pauvres", mais nous nous engageons - a encore dit le bras droit...
Pour remplacer le rebelle Montebourg à l'Économie, Hollande a choisi l'exact opposé : un jeune banquier, de confiance et libéral, que son prédécesseur avait diabolisé en se définissant « contre la macronisation de la politique » - Emmanuel Macron, 36 ans, prendra sa place pour Bercy :…