« C'est nous qui décidons des impôts à réduire et non un eurobureaucrate ». Ainsi le Premier ministre, Matteo Renzi, a répondu à New York aux journalistes qui lui demandaient de commenter le document de la Commission européenne sur la politique fiscale dans les pays membres où l'Italie est invitée à réduire les impôts sur le travail et non sur la maison.
« Sur cette question – a ajouté le Premier ministre – l'Italie décide. J'espère que l'Europe aura la force de se faire entendre sur les sujets dont elle a besoin pour se faire entendre » comme par exemple « l'immigration ».
"Chacun doit faire son travail", a conclu Renzi, rappelant à plusieurs reprises que la responsabilité des choix dans le domaine fiscal incombe aux gouvernements nationaux.