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État du quota 100 : école et soins de santé menacés de chaos

Selon la CGIL, la CISL et l'UIL, les contre-mesures élaborées par le Gouvernement ne suffiront pas à empêcher la vague de départs du secteur public de créer des mauvais services aux citoyens - Des dizaines de milliers de travailleurs sortants, notamment dans la santé et les écoles - Remplacez-les tout le temps ce sera très difficile : c'est pourquoi

Quota 100 est susceptible de mettre certains services publics essentiels sont en danger. je tire la sonnette d'alarme Cgil, Cisl e Uil, que lors d'une audition parlementaire sur le « décréton » (la disposition qui contient l'actualité des retraites, en plus du CBI) dénoncent les risques liés à la vague de départs à la retraite arrivant dans le secteur public.

L'un des secteurs les plus à risque est celui des Santé. Ces derniers jours, les organisations de médecins ont tiré la sonnette d'alarme, l'Anaao-Assomed calculant 23 18 sorties dans les trois prochaines années, dont 4.500 100 par les voies normales et 39 XNUMX avec un quota de XNUMX. L'automne dernier, la Fédération représentative des infirmières avait même parle de XNUMX XNUMX travailleurs théoriquement en mesure de profiter de la nouvelle forme de retraite dès cette année. Même si les effectifs seront alors plus faibles, rappelons que la possibilité de procéder à de nouvelles embauches est compromise dans de nombreuses régions par la nécessité de respecter les contraintes fixées par les plans de réduction du déficit.

dans école, cependant, la date limite pour les questions a été fixée à la fin du mois de février et les 100 intéressés sont environ 17 XNUMX.

Au total, le gouvernement s'attend à ce qu'environ 100 290 Italiens partent en préretraite cette année grâce à un quota de XNUMX, dont 100 XNUMX fonctionnaires. Ces sorties s'ajoutent aux retraites normales, celles qui interviennent sur la base des règles de sécurité sociale en vigueur avant même la quotité des 100.

Le problème de la retraite de masse était également clair pour le gouvernement dès le début, qui a en fait établi une règle de plus pour les employés de l'État : contrairement à ceux qui travaillent dans le privé, les employés de l'AP qui veulent partir en retraite anticipée avec un 100 qu'ils doivent donner préavis d'au moins six mois à leur administration compétente.

En théorie, pendant cette période, l'État devrait trouver un moyen de remplacer le travailleur sortant pour éviter de laisser le poste à découvert et de compromettre ainsi la qualité du service public.

C'est précisément à cette fin que le gouvernement a également confirmé que dans le secteur public, il n'y a plus de gel du chiffre d'affaires. Cela signifie qu'à partir de cette année toutes les administrations peuvent remplacer n'importe quel travailleur sortant, alors que par le passé le quota avait été réduit (voire supprimé) pour faire des économies.

Tout est résolu ? Pas exactement. Selon la Constitution, Le personnel de l'AP doit être sélectionné par concours public. Et les concours ne se résolvent pas en quelques mois : du moment de l'intronisation à l'entrée en service des vainqueurs souvent des années s'écoulent. Si 100 mois de préavis suffisent aux retraités avec un quota de 6 pour se retirer du travail, le danger qu'un vide se crée est plus que concret.

A ce problème s'ajoute le fait qu'en décembre dernier, le gouvernement a convenu avec Bruxelles de prolonger jusqu'au 15 novembre 2019 le gel de tous les recrutements prévus cette année dans l'Etat central, une mesure qui permettra d'économiser environ 200 millions.

Face à ces contradictions, la majorité tente d'endiguer l'hémorragie qui s'annonce par une série d'amendements au décret.

Pour les travailleurs de école il est établi qu'au prochain concours les intérimaires auront un avantage : les périodes de service déjà effectuées vaudront en effet la moitié de la note attribuée aux titres.

Même dans justice les procédures de recrutement ont été accélérées, prévoyant la possibilité d'embaucher 1.300 15 personnes dès le XNUMX juillet, soit quatre mois avant l'échéance fixée avec l'UE.

En ce qui concerne régions ed autorités locales, pourront également remplacer les travailleurs qui quittent leur emploi cette année et pas seulement les retraités de 2018.

Enfin, les classements des compétitions dévoilés cette année pour l'accès à l'emploi public, ils peuvent être utilisés non seulement pour pourvoir les postes disponibles mais aussi pour ceux qui deviennent disponibles parce que les lauréats ne se présentent pas ou cessent ensuite leur emploi.

Tout cela suffira-t-il à empêcher les retraites massives avec un quota de 100 d'augmenter le chaos dans l'AP ? Les syndicats ne sont pas du tout convaincus.

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