Le milliardaire du Psg n'a pas assez d'argent des cheikhs arabes pour marquer. Hier troisième déception consécutive pour la richissime équipe parisienne, qui n'est pas allée au-delà d'un médiocre 0-0 à domicile face à Bordeaux. Trois matchs et trois nuls et le top s'en va : l'équipe d'Ibra et Thiago Silva est déjà à -6 de Marseille, qui au contraire a toujours gagné et qui a également battu hier les nouveaux champions de Montepellier.
À ce stade, le banc d'Ancelotti, malgré la protection de Leonardo, commence à devenir chaud et certains des adversaires commencent à se moquer de qui ils voudront acheter et combien d'argent ils jetteront sur le marché pour renverser une situation embarrassante.
Certes si Ancelotti ne parvient pas à s'imposer au plus vite, son banc commencera vraiment à trembler et les rêves de gloire se retrouveront au dossier. Heureusement, le football ne s'achète pas avec les pétrodollars des cheikhs.