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OCDE, PIB en hausse de 0,5 % au premier trimestre. L'Italie s'arrête à +0,1%.

Dans la zone OCDE, le PIB réel a progressé de 0,5% au premier trimestre, confirmant sa stabilité depuis fin 2010. De même en Italie où la croissance s'est arrêtée à 0,1% depuis le dernier trimestre.

OCDE, PIB en hausse de 0,5 % au premier trimestre. L'Italie s'arrête à +0,1%.

Le PIB réel de la zone OCDE a progressé de 2011 % au premier trimestre 0,5, confirmant la stabilité déjà constatée au cours des derniers mois de 2010. Si le poids de la consommation privée a diminué, qui reste néanmoins le principal moteur (de 0,4 % en au quatrième trimestre 2010 à 0,2 %) dans les principales économies. Cette perte a été compensée par une augmentation significative de la contribution des actions (à +0,1 % contre -0,4 %).

En revanche, tout reste à l'arrêt en Italie où le PIB se maintient à +0,1% du trimestre précédent. Le principal moteur de la croissance italienne est l'exportation même si, souligne l'organisation pour le développement économique, une contribution significative a été apportée par la cession des stocks.

Il s'agit plutôt des principales mises à jour de l'OCDE, au premier trimestre 2011, pour les principales économies.
Aux États-Unis, la croissance est tombée à +0,5 % contre +0,8 % fin 2010. Les exportations et les déstockages (+0,4 % et +0,3 %) compensent cependant nettement les contributions négatives des investissements et des dépenses publiques (respectivement -0,2 % % et -0,1 %) . L'Allemagne, en revanche, accélère, s'établissant à +1,5 % après +0,4 % au dernier trimestre 2010. Les investissements ont largement contribué à cette croissance (leur contribution à la composition du PIB est de 0,9 %) et la réseau d'exportation (0,5%).
En France, le PIB a crû de 0,9% (+0,3% par rapport à la dernière fraction de 2010), cette croissance dynamique, observe l'OCDE, est principalement liée à la reconstitution des stocks (0,7%).

Comme prévu, la croissance économique japonaise continue d'être négative, ce qui continue d'ignorer les conséquences de la catastrophe du 11 mars. Le PIB est à -0,9% (en décembre 2010 il était à -0,7%). La seule note positive, selon l'OCDE, dans la situation dramatique de la nation du Soleil Levant, ce sont les dépenses publiques qui se fixent à +0,2%, mais la consommation privée et les stocks restent lourds (respectivement à -0,3% et -0,4% ).

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