"L'éditeur Confindustria s'est avéré être peut-être le pire de ces 15 dernières années. Mais pas un mot de Boccia, ni sur le passé ni sur les solutions que nous essayons maintenant de poursuivre". Ceci a été écrit par Massimo Mucchetti, Pd président de la commission sénatoriale de l'industrie, commentant les propos du président de la Confindustria, Vincenzo Boccia, en marge de l'Assemblée de la Confindustria.
« N'est-il pas temps de privatiser Il Sole 24 Ore ? Il existe des opportunités, loin des cercles du pouvoir mais fortes et propres, capables de lancer le journal dans le business du big data, de faire des fusions et acquisitions - poursuit Mucchetti - Mais elles ne sont pas poursuivies pour maintenir un instrument de pression sur le gouvernement tout en restant d'ailleurs sous la botte des banques prêteuses. Et c'est une mauvaise chose, car une approche aussi conservatrice tend à rabaisser un grand journal au rang d'une feuille de propagande et en même temps, compte tenu de la faiblesse politique de la Confindustria elle-même, à la réduire à un instrument de propagande non incisive. Combien de temps l'engagement souvent courageux de la rédaction pourra-t-il durer ? ».
