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Inwit, Piazza Affari se passionne pour le jeu de tours

L'entrée dans le panier principal de l'entreprise aux 22 XNUMX pylônes de télécommunication a la saveur du début d'un nouveau jeu sur le leadership européen - Le champion national a ce qu'il faut pour jouer un rôle de premier plan - Les concurrents ne manquent pas : voici qui ils sont et quel rôle ils peuvent jouer

Inwit, Piazza Affari se passionne pour le jeu de tours

Inwit déclenche le turbo dans le premier jour dans l'indice des blue chips de Piazza Affari, se confirmant, avec une augmentation d'environ 2,7%, comme l'un des rares titres (un peu plus d'une dizaine) en terrain positif année à ce jour. Mais, à en juger par l'attention que le jeu de tour reçoit en Europe, les débuts de l'entreprise dans le panier principal de la Bourse de Milan ont la saveur du début de un nouveau match pour le leadership européen dans lequel Inwit, avec plus de 22 XNUMX tours qui garantissent la primauté en Italie, aura sans aucun doute un rôle de premier plan.

Grâce à la percée qu'il a permis la scission de la branche Telecom Italia Tower et le lancement d'un processus de fusion complexe et délicat avec Vodafone Towers Italia achevé en mars dernier, depuis lors, les deux sociétés contrôlent chacune 37,5% du capital tandis que la direction opérationnelle revient à l'ancien monopoleur. "Une bonne pratique qui trouvera de nombreux admirateurs dans le monde des télécommunications" a prédit le PDG une fois l'opération bouclée Jean Ferigo. Car, explique-t-il, « Inwit est une entreprise de tour à toutes fins pratiques par type d'activité et modes de fonctionnement ». Bien plus qu'un simple concierge/châtelain gardant les tours des deux opérateurs, mais un champion national qui vise à assurer, même en étant ouvert aux autres opérateurs, couverture capillaire du territoire national pour le développement de toutes les technologies sans fil. Un rôle essentiel pour assurer le travail intelligent, mais aussi la formation à distance, les appels vidéo et les services à la demande, la frontière infaillible du divertissement. Un secteur en plein essor avant même le déclenchement de l'épidémie, qui a contribué à accroître l'attractivité du secteur auprès des investisseurs.

C'est ce qui explique le succès du jeu des tours : dans quelques jours le géant Hutchison Whampoa, propriétaire de Wind 3, qui a déjà filialisé les tours italiennes (8.100 XNUMX) en une société indépendante, achèvera la construction d'un Towerco avec 28 XNUMX installations dans une partie de l'Europe (Royaume-Uni, Suède, Danemark) ainsi qu'en Italie. 

Celnex est très actif propriété de la famille Benetton à travers Sintonia et Edizione, la société qui a repris les tours Iliad. A ne pas négliger Tours Ei (60% F2i, 40% aux mains de Mediaset) après que l'entreprise a partiellement revu son business model, se renforçant sur le segment du broadcast mais sortant du secteur des tours téléphoniques. La nouvelle organisation devrait faciliter une combinaison avec Voie Rai déjà tenté en 2017 mais sauté en raison de l'opposition du gouvernement Renzi. Dans ce cas, la combinaison entre Ei Towers et Rai Way pourrait suivre le modèle adopté pour le mariage entre Tim et Vodafone à Inwit. 

Ces derniers jours, cependant, un autre prétendant à la filiale Rai a fait son apparition : il s'agit du Le groupe américain Phoenix Towers International intéressé par l'acquisition de TowerTel, le portefeuille de tours téléphoniques d'EI Towers, opération dans laquelle Cellnex Telecom serait également impliqué. Le groupe Phoenix Tower International est l'un des principaux opérateurs mondiaux de tours, avec environ 9 XNUMX tours dans divers pays du monde, dont les USA et l'Amérique latine (Mexique et Argentine notamment) et tente de se développer en Europe, à partir pour l'instant de France et d'Irlande. Mais l'Italie pourrait être une alternative.  

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