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Entreprises individuelles : en Italie 40% ne dépassent pas 5 ans de vie

Selon les données d'Unioncamere et InfoCamere, parmi ceux qui sont contraints de fermer, 50% le font dans les deux premières années d'activité et seulement 5% décident de se remettre dans le jeu en ouvrant une nouvelle entreprise

Entreprises individuelles : en Italie 40% ne dépassent pas 5 ans de vie

En Italie, 40 % des entreprises individuelles ferment dans les cinq premières années d'activité. Parmi celles-ci, 50% abandonnent dans les deux ans et seulement 5% décident de se remettre dans le jeu en ouvrant un nouveau commerce. Les chiffres sont de Unioncamere e InfoRooms, qui a analysé l'univers de 235.985 2014 entreprises individuelles nées en 88.184. Parmi celles-ci, 30 2018 ont cessé au 48.377 juin 2015, 20.538 12 en XNUMX, XNUMX XNUMX dans les XNUMX premiers mois de vie.

La sélection la plus impitoyable est celle qui a lieu dans les secteurs de tourisme (43,5 % fermés au cours des cinq premières années), dei services personnels (40,1%) et deassurance et crédit (39,6%).

Les plus résistantes sont les entreprises individuelles Lucane (30,5% ne dépassent pas les cinq premières années), suivi de Sardaigne (30,7%) et de Trentin (31,3%).

Le saignement le plus fort, cependant, est dans Émilie-Romagne (40%), toscane (39,9%) et Piémont (39,5%).

« Dans le Sud et dans les Îles, il y a un pourcentage moyen de fermetures plus faible, peut-être parce qu'ici plus qu'ailleurs la voie de l'entreprise et de l'auto-emploi représente souvent la seule perspective d'emploi et de revenu à laquelle on s'accroche malgré les difficultés », écrivent-ils. Unioncamere et Infocamere.

Aussi pour cela, ceux qui se rapprochent du Sud ne s'en remettent presque jamais seuls. Au contraire, dans le Centre-Nord, il y a une plus grande propension à essayer à nouveau la voie entrepreneuriale : les plus insistants sont les entrepreneurs de la Vallée d'Aoste (9,8%), de la Lombardie (8,2%) et de la Vénétie (7,1%).

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