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Le climat après Greta : les coups de l'Italie et de l'UE - VIDEO

Dans cette vidéo éditoriale, Gianfranco Borghini évoque la direction que doivent prendre les politiques de la nouvelle Commission européenne et du "Green New Deal" du gouvernement Conte 2 pour ne pas trahir les demandes des jeunes de "Fridays For Future"

Le climat après Greta : les coups de l'Italie et de l'UE - VIDEO

Les grands manifestations contre le changement climatique organisé dans le monde entier par «Vendredis pour le futur», un mouvement né de l'activisme de la Suédoise de XNUMX ans Greta Thunberg, « sont certainement un fait positif, car ils marquent un conscience au niveau mondial des problèmes environnementaux, et donc de la nécessité de politiques actives qui réduisent l'impact environnemental ». Gianfranco Borghini, ancien parlementaire Pd et expert de l'industrie et de l'énergie, le dit dans la dernière vidéo éditoriale publiée sur Chaîne YouTube FIRSTonline.

"Cependant, cette prise de conscience doit être transformée, surtout chez les nouvelles générations, en connaissance – poursuit Borghini – c'est-à-dire dans la conscience exacte des dimensions des problèmes et des possibilités de les résoudre ».

Une grande contribution dans ce sens peut et doit être apportée par le nouveau Commission européenne dirigé par Ursula Von der Leyen. Selon Borghini, Bruxelles « devra indiquer certains des objectifs de décarbonation réalistes, pour y parvenir ils seront nécessaires grands investissements publics dans plusieurs secteurs : économie et efficacité énergétique dans les bâtiments publics, modernisation du système de transport et nouveaux carburants. Nous devons nous concentrer avant tout sur la diversification énergétique, c'est-à-dire utiliser toutes les sources qui peuvent nous accompagner vers une énergie qui a moins d'impact sur l'environnement ».

Quant à l'ambitieux "Green New Deal» annoncé par le Premier ministre, Giuseppe Conte, Déjà dans le discours d'ouverture de son deuxième mandat, Borghini estime qu'il n'a de sens "que s'il contient au moins trois éléments". Et c'est:

  1. Un très fort investissement dans efficacité de tous les systèmes et appareils publics, donc "un plan pour sécuriser les écoles et tous les bâtiments publics et encourager l'efficacité énergétique dans le secteur du bâtiment".
  2. Incitation pour tous ceux "technologies qui, dans le système productif, encouragent la réduction de la consommation de terres, d'eau et de matériaux d'abord en général".
  3. Enfin, Borghini souligne que le "Green New Deal" devra se concentrer surtout dans le secteur des services, qui de toutes est celle qui nécessite « la transformation la plus pertinente, étant la plus arriérée et la plus dangereuse sur le plan écologique ».

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