Moody's ne pense pas comme Standard & Poor's. L'agence de notation, contrairement à ce qui avait été décidé vendredi dernier par ses collègues de S&P, a a confirmé le triple A de la France. En attendant, cependant, au-delà des Alpes ils se demandent encore sur les conséquences du déclassement.
Hier, dans la première version officielle deux jours après la déclassement de la France par Standard & Poor's, Le président français Nicolas Sarkozy il avait dit dans un discours à Amboise : «je parlerai aux français à la fin du mois, je leur dirai quelles décisions importantes doivent être prises sans perdre de temps. Je leur dirai que la crise peut être surmontéetant que nous aurons la volonté collective et le courage de réformer notre pays."