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L'euro au plus bas depuis vingt ans : vaut moins que le dollar. Le gaz cher et les taux d'intérêt effraient les bourses. La propagation augmente

Le glissement de terrain de l'euro se poursuit, qui vaut aujourd'hui moins que le dollar - mais les marchés boursiers sont également effrayés par le prix élevé de l'essence et la hausse des taux

L'euro au plus bas depuis vingt ans : vaut moins que le dollar. Le gaz cher et les taux d'intérêt effraient les bourses. La propagation augmente

Les marchés voient noir. Là glissement de terrain de l'euro (0,993 contre dollar, au plus bas depuis vingt ans) accompagne la montée des craintes sur les obligations réelles intentions de Gazprom, qui est sur le point de fermer les robinets du gazoduc Nord Stream pour la maintenance". Wall Street, attendant les paroles du président de la Fed, a mis le casque. Après le mini-rally qui a permis de récupérer une partie des pertes des plus bas de juin, les bourses américaines anticipaient par avance un nouveau resserrement : Sacs en forte baisse, Bitcoin en désordre avecOr, au moins pendant un mois, ils courent obligations, au plus haut depuis le 21 juillet, mais l'écart entre taux courts et taux longs se creuse à nouveau (29,7 points), signe fort de l'arrivée possible d'une récession.

Bref, le pessimisme est de rigueur. Et forte est l'envie de ne pas se retrouver le match en moins en ce début d'automne qui s'annonce chaud. Mais la nervosité des opérateurs est peut-être exagérée. Les stratèges de JP Morgan ont écrit hier que la Réserve fédérale modifiera sa liste de communications au cours de l'automne et commencera à préparer les marchés à la fin du resserrement monétaire.

Cependant, la secousse a amené le Nasdaq perdre 2,6 % hier, leS & P500 2,1 % et la Dow Jones brûler 600 points.

Les technologues souffrent : Zoom -7%

Les actions technologiques paient le prix le plus élevé : Nvidia -4,6%, ralentissement brutal aussi pour Amazon (-3,5%).

Il souffre surtout Zoom (-7%), voire -70% depuis le début de l'année. La société de téléconférence a du mal à suivre les taux de croissance des verrouillages. Les revenus n'ont augmenté que de 8 % au cours du trimestre.

Contrats à terme sur la parité européenne après la tempête

Après les pertes massives d'hier, les contrats à terme signalent un début tranquille pour les actions européennes : le contrat à terme de l'indice EuroStoxx 50 se situe autour de la parité.

Francfort, le marché le plus exposé au gaz, a perdu 2,1% hier. Milano -1,64%.

ça l'élargit propagation jusqu'à près de 230 points, face à la hausse des rendements : la BTP décennal est à 3,58 %, le Frette de même durée à 1,29 %.

Tokyo -1 %. Seule l'Inde progresse de +0,3%

Le ralentissement touche aussi les marchés asiatiques ce matin. Nikkei de Tokyo -1%. Contrairement à la liste de prix, les compagnies aériennes sont en hausse : Japan Airlines +3 %. Le gouvernement japonais, selon ce que le Nikkei, envisage la possibilité de supprimer l'exigence de test Covid 19 négatif pour les voyageurs vaccinés arrivant de l'étranger.

Les bourses chinoises chutent moins. Hang Seng de Hong-Kong -0,5 %. CSI 300 des listes de Shanghai et de Shenzen -0,1 %. Le marché boursier indien grimpe : ESB Sensex + 0,3%. Kospi de Séoul -0,8%.

Pétrole à 91 dollars. Près de l'accord avec l'Iran

Il Huile WTI il est en hausse de près de 1 %, à 91 $. Brent à 97,2 $. Hier, le pétrole brut a perdu 4 %, mais à la fin de la séance, il avait presque complètement éliminé le désavantage. Un avertissement est arrivé d'Arabie Saoudite dans la soirée : leOpep+ pourrait réduire la production de pétrole si les prix continuent de baisser. Le ministre saoudien de l'énergie, le prince Abdulaziz bin Salman, a déclaré à l'agence Bloomberg que le cartel a la capacité de réduire la production.

Pendant la nuit, le États-Unis ont exprimé leur satisfaction que L'Iran abandonné son intention de procéder à la construction de sites d'exploitation de l'énergie nucléaire. Le porte-parole du département d'État de Washington, Ned Price, a déclaré que l'administration Biden examinant le projet d'accord négocié par l'Union européenne, il ne faudrait pas un jour de plus que nécessaire pour fournir la réponse à l'UE. Le chef de la politique étrangère européenne, Josep Borrell, a déclaré plus tôt que l'Iran avait envoyé une proposition raisonnable.

L'agenda de Piazza Affari : Tim, Stellantis, Intesa Sanpaolo

PDG de Tim, Pierre Labriola, a acheté un million d'actions de la société sur le marché au prix de 0,2084 euro.

À la maison stellante, la production dans les usines automobiles en France - qui avait fermé pour la pause estivale annuelle - reprendra de manière plus normale qu'elle ne l'a fait fin août 2021, lorsque les pénuries de puces ont entraîné une série d'arrêts de production, a déclaré un porte-parole.

En ce qui concerne Intesa Sanpaolo, au 19 août, depuis le lancement du programme le 4 juillet 2022, a acheté un total de 497.201.056 2,49 1,7281 actions, soit environ 859 % du capital avant annulation, à un prix moyen d'achat par action de XNUMX XNUMX euros, pour une valeur totale d'environ XNUMX millions d'euros.

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