Partagez

Esodati, Fornero : soyez patients…

Aujourd'hui et demain, le ministre du Travail devra répondre d'abord au Sénat puis à l'hémicycle sur des questions relatives à la question de l'exode - "Les ressources financières du pays sont à ce stade assez limitées et il faut faire en sorte que chaque euro dépensé pour l'aide sociale est bien dépensée ».

Esodati, Fornero : soyez patients…

La mission est d'approuver la réforme du travail avant le Conseil de l'UE prévu les 28 et 29 avril. Sur cette route, le plus gros obstacle est le nœud de l'exode, qui crée des maux de ventre au centre gauche, notamment au sein du Parti démocrate. Ces derniers jours, il a été question d'un décret séparé, mais d'ici aujourd'hui à demain, le calendrier devrait être précisé par le ministre du Travail, Elsa Fornero, qui devra répondre d'abord au Sénat puis à l'hémicycle sur des questions portant précisément sur la question de l'exode. 

Tenant toujours la cour le nombre de personnes impliquées. « Une première estimation du bureau technique était de 50 65 unités – a déclaré Fornero -. Nous l'avons porté à XNUMX mille pour avoir une marge de flexibilité. Nous avons alors convenu qu'il y avait d'autres personnes mais pour eux le Le problème n'est pas immédiat et nécessite une enquête et une identification des critères sur lesquels nous travaillons. Je vous demande d'être patient, car on ne peut pas tout faire en peu de temps. Considérez que les ressources financières du pays sont à ce stade plutôt limitées et qu'il faut s'assurer que chaque euro dépensé en aide sociale est bien dépensé. Je ne peux que promettre ma sensibilité et mon engagement : je ne peux pas tirer des ressources de nulle part".

Aujourd'hui, le ministre sait que ses réponses sur ce point ne seront pas celles de ces derniers jours et pour débloquer la situation il a aussi ouvert l'hypothèse du "coupon" pour la réforme à une date ultérieure, si l'on voit que "certains règles" ne fonctionnent pas. Aujourd'hui, vraisemblablement dans l'après-midi, après le Sénat, Fornero fera le point avec les chefs de groupe à Montecitorio. Après cela, il ne peut être exclu qu'ABC, Alfano, Bersani et Casini scellent l'accord avec Monti.

Passez en revue