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C'est la rue commerçante la plus exclusive de Hong Kong

L'artère commerciale la plus chère du monde est Causeway Bay, dans l'ancienne colonie britannique : le loyer au mètre carré est de près de 25 20 euros par an - En deuxième position se trouve la Cinquième Avenue à New York, à plus de 13 38 euros - Les Champs Élysées à un peu plus XNUMX mille euros, mais les loyers ont augmenté de XNUMX% en un an dans la rue commerçante française

C'est la rue commerçante la plus exclusive de Hong Kong

Pour la deuxième année consécutive, Causeway Bay à Hong Kong reste l'artère commerçante la plus chère au monde. Médaille d'argent pour la Cinquième Avenue de New York. La plus basse marche du podium pour les Champs Élysées à Paris. New Bond Street à Londres et Ginza à Tokyo sont respectivement quatrième et cinquième du classement spécial de Cushman & Wakefield.

Selon l'étude, à Causeway Bay, pour louer un mètre carré, il faut dépenser en moyenne près de 25 14,7 euros par an, avec une croissance de XNUMX % par rapport à l'année précédente. Une augmentation liée "à la demande soutenue des boutiques de luxe" pour mettre une vitrine sur la prestigieuse rue commerçante.

Moins cher, pour ainsi dire, d'ouvrir une boutique sur la Cinquième Avenue : le prix au mètre carré est de 20700 3,7 euros par an, en hausse de 11 %. Une augmentation modeste, surtout si on la compare à celle de l'année précédente (près de XNUMX %). en raison "d'un climat économique moins favorable et de l'augmentation de l'offre dans des pays comme le Brésil".

Les chiffres à Paris sont bien inférieurs – un peu plus de 13 38,5 euros – mais les prix des locations sur les Champs Élysées augmentent rapidement : +30 % cette année, après avoir enregistré +2012 % en XNUMX. Le problème, de ces quartiers, c'est que les places commencent s'épuiser : « Les ouvertures sont désormais rares, en ce qui concerne les tronçons les plus chers, et les opportunités sont quasiment inexistantes », précise Cushman & Wakefield France.

Pour 2014, le centre d'étude s'attend à ce que les valeurs locatives (sauf pour des pays comme la Grèce et l'Irlande, fortement touchés par la crise) restent globalement "stables ou continuent de croître dans le sillage de la reprise, de la forte concurrence entre les marques de la soi-disant « fast-fashion » (surtout H&M et Zara) ou le luxe et, enfin, le manque d'offre des meilleurs emplacements dans les rues commerçantes.

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