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Di Maio, pas seulement Ilva : 180 XNUMX travailleurs en jeu

Le sauvetage et la relance d'Ilva à Tarente est le premier véritable test du nouveau ministre du Travail, qui rencontrera bientôt ArcelorMittal, mais 180 162 travailleurs de XNUMX entreprises en crise frappent également à sa porte

Di Maio, pas seulement Ilva : 180 XNUMX travailleurs en jeu

Luigi Di Maio, en tant que nouveau ministre du Développement économique, devra faire face à 162 crises d'entreprises dans les mois à venir, mettant en péril environ 180 14 emplois au total. Et ce sans compter le dossier le plus important, celui d'Ilva (près de XNUMX XNUMX salariés), sur lequel, d'ailleurs, il y a peu de nouvelles encourageantes.

ArcelorMittal, le leader mondial indien de la sidérurgie, a fait exploser la réunion avec les syndicats prévue aujourd'hui. Selon les accords passés avec le gouvernement précédent, à partir du XNUMXer juillet (lorsque, entre autres, les fonds pour le paiement des salaires et des fournisseurs s'épuiseront), le groupe asiatique devrait acquérir Ilva, mais avant de tenir leurs promesses, les Indiens entendent vérifier les intentions du nouveau gouvernement sur la principale entreprise sidérurgique italienne, au centre de déclarations controversées dans les semaines qui ont précédé la formation du gouvernement.

Dans le contrat gouvernemental Lega-Stellato, il est question de "reconversion économique" et de "fermeture progressive des sources polluantes", un compromis entre les intentions des Cinq Etoiles, qui ont toujours été favorables à la fermeture de l'usine de Tarente pour éliminer son impact environnemental impact, et de la Lega , déployée à la place pour la sauvegarde de l'industrie sidérurgique italienne. En cas de revirement du nouveau gouvernement ou d'arrêt du Tar au plan environnemental (sur lequel la Région des Pouilles a fait appel), ArcelorMittal pourra demander le remboursement des investissements et des pertes de revenus.

La deuxième crise la plus importante au niveau national est celle d'Alitalia, pour laquelle le contrat Pentaleghist prévoit un sort italien (peut-être même public) compte tenu du manque d'offres des transporteurs étrangers.

Ensuite, il y a Termini Imerese, où Blutec négocie une modification du plan d'affaires avec Invitalia (sous réserve du retour de 20 millions d'investissements non réalisés), tandis que pour Aferpi (ex-Lucchini) de Piombino et l'ex-Alcoa en Sardaigne, les renflouements semble maintenant chose faite (avec l'achat par Jindal et Sider Alloys, respectivement).

Mais des nouvelles pourraient aussi arriver sur la table de Mise, des 29 XNUMX licenciés de Telecom Italia au plan industriel Fiat annoncé par Sergio Marchionne, notamment en ce qui concerne les effets sur l'usine de Pomigliano.

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