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Coronavirus, Unicredit et Azimut ramènent la Bourse sous les 25 XNUMX points de base

Le déclenchement de l'épidémie chinoise également en Italie, l'ouverture négative de Wall Street, l'effet Mustier sur Unicredit et l'effondrement d'Azimut ont frappé le Ftse Mib - Leap contre la tendance de Telecom Italia.

Coronavirus, Unicredit et Azimut ramènent la Bourse sous les 25 XNUMX points de base

ça date de là fièvre liée au corona virus sur les marchés, le jour où, étonnamment, la Lombardie enregistrait également 6 cas dont 5 graves. Les bourses européennes clôturent dans le rouge, après une accélération à la baisse suite à la performance négative de Wall Street. Piazza Affari est la plus mauvaise, -1,22%, 24.773 0,64 points ; dégâts plus contenus à Francfort -0,54% ; Paris -0,45% ; Madrid -0,41 % ; Londres -XNUMX %.

Les gouvernements de la zone euro font peine à trouver un accord sur le budget post-Brexit, tandis qu'aux États-Unis, les données macroéconomiques sont décevantes, car l'activité dans le secteur des services s'est étonnamment contractée en février tandis que l'activité manufacturière a atteint un plus bas en 6 mois. Mais en toile de fond restent surtout les inconnues sur l'évolution de l'épidémie de Covid-19 et ses répercussions économiques. Certaines se sont vues aujourd'hui : -92% la baisse des immatriculations en Chine sur les 16 premiers jours de février. 

Sur le front épidémique, l'actualité du jour est le début de virus en Lombardie, près de l'Émilie-Romagne. Pour le moment, il semble qu'il y ait six personnes infectées, cinq d'entre eux dans un état grave. Des mesures de sécurité ont été prises immédiatement : 250 personnes placées à l'isolement et l'invitation aux citoyens de Castiglione d'Adda, Casalpusterlengo et Codogno de ne pas quitter la maison. Dans ce dernier endroit, les écoles, les bars et les clubs sont fermés.

L'origine de l'infection n'est pas claire et l'Organisation mondiale de la santé a exprimé préoccupation pour les cas enregistrés hors de Chine "sans lien épidémiologique clair". Pour faire face à d'autres surprises, le ministère italien de la Santé a instauré l'obligation de quarantaine "fiduciaire" à domicile pour ceux qui reviennent d'un voyage en Chine et de "surveillance active" pour ceux qui se sont rendus dans des zones à risque.

La situation favorise les investissements dans l'or, le lingot grimpant à 1642,15 dollars l'once (+1,34%). En revanche, le pessimisme revient sur la demande de pétrole et le Brent cède 1,84%, tombant à 58,22 dollars le baril. Sur le marché des devises, le dollar est en baisse après les données du PMI manufacturier et des services. L'euro grimpe à un plus haut de quatre jours et s'échange à 1,085.

L'aversion au risque favorise les obligations. La carte italienne est appréciée, malgré la fibrillation de la majorité et le spread entre les obligations italiennes et allemandes à dix ans tombe à 134 points de base (-1,93%) ; le rendement du BTP tombe à 0,91 %.

À Piazza Affari, il n'y a que six titres positifs sur la liste principale. Les télécoms, +3,79%, sont la part reine de la séance, après Fuites de presse sur l'intérêt de KKR, l'un des plus gros fonds d'infrastructures américains, qui souhaiterait acquérir "une participation minoritaire dans le réseau secondaire, c'est-à-dire l'infrastructure en cuivre et en fibre qui va du cabinet de rue jusqu'au domicile des Italiens".

Bon Nexi, +1,45%. Légère progression pour Campari +0,35% ; Atlantique +0,18 % ; Énel +0,13 % ; La Poste +0,09%. Vente évier Azimut, -5,83% et Finecobank -3,29% en épargne gérée. Parmi les valeurs pétrolières, Tenaris plonge de -4,44%, ce qui a résisté hier aux faibles prévisions 2020. 

Baisse de Prysmian -3,9%. Les banques perdent une grande partie de l'attrait affiché en début de semaine, après l'offre d'Intesa (-1,12%) sur UBI (-0,38%). Unicredit, -3,89%, est le pire après rumeurs de départ du PDG Mustier en direction de HSBC.

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