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CHAMPIONNAT DE MILAN - L'Inter dit au revoir à l'Europe, Ancelotti ne revient pas à Milan

CHAMPIONNAT DE MILAN - L'Inter échoue également contre Gênes (3 à 2) et dit au revoir à la Ligue Europa : arbitre désastreux - Milan est au contraire de plus en plus dans le chaos - Berlusconi annonce que le prochain entraîneur des Rossoneri sera Ancelotti mais l'entraîneur émilien ne le fait pas d'accord: "Soit je reste au Real Madrid, soit j'arrête un an" – Aujourd'hui Milan reçoit le Bull

CHAMPIONNAT DE MILAN - L'Inter dit au revoir à l'Europe, Ancelotti ne revient pas à Milan

Fin de course. L'L'Inter perd le barrage contre Gênes et, sauf miracle, il dit au revoir à la prochaine Ligue Europa. Si la Sampdoria bat Empoli (12.30) ils deviendront injoignables et même s'ils sont stoppés par les hommes de Sarri, ils auront encore une autre balle de match au tour suivant face à Parme. Tout cela si l'UEFA continue de refuser la licence au Gênes : à l'inverse, dans les faits, la Ligue Europa y aurait déjà échappé mathématiquement. Il est peu probable que la Haute Cour de Coni soit d'accord avec Preziosi, pourtant le rossoblu, compris comme une équipe, mérite cela et plus encore. Ce sont eux, avec la Juventus, qui jouent le meilleur football d'Italie et hier ils l'ont prouvé aussi. Le 3-2 par Marassi c'était une vraie tache pour notre Serie A, à part quelques erreurs d'arbitrage qui, malheureusement, continuent de gâcher des matchs. Trois pénalités refusées (deux pour l'Inter et une pour Genoa), deux expulsions manquées (toutes deux pour le Rossoblu), quelques buts refusés (toujours pour les Nerazzurri) qui soulèvent de nombreuses perplexités : bref, la soirée de Tagliavento n'a pas été exactement une soirée heureuse… Cela ne doit toutefois pas entacher les mérites de l'équipe locale, qui a certainement mérité la victoire. En revanche, l'Inter doit réciter un joli mea culpa : avec une défense comme celle-là, il est impossible d'atteindre de grands objectifs. "A part cet arbitre, qui n'a pas beaucoup de chance avec nous, nous commettons trop d'erreurs - a pensé Mancini. – Nous sommes désolés de dire au revoir à l'Europe mais cela ne change pas nos stratégies : nos joueurs sont bons et, avec quelques renforts de qualité, ils vont s'améliorer ». Le coach de Jesi s'efforce de regarder le verre à moitié plein, avec la conscience (pas trop cachée) de devoir se préparer à une bonne révolution. Hier encore, son Inter s'est révélé incomplet : deux fois en tête (d'abord avec Icardi à la 19e minute, puis avec Palacio à la 30e), ils ont été rattrapés (Pavoletti à la 24e et Lestienne à la 41e) et dépassés. (Kucka à la 89e minute). Les failles défensives étaient gênantes, surtout celle qui a mené au 2-2 de Lestienne : Handanovic (sinon imbattable) et Ranocchia auraient fait le bonheur de Mai dire Gol.

Ce soir ce sera au tour du AC Milan, engagé dans le report face à Turin (20.45h7). Dans la Via Aldo Rossi, cependant, on pense peu au match et beaucoup à l'avenir. Qui, selon les événements récents, semble être enveloppé d'un chaos sans fin. En attendant l'évolution de l'entreprise, le nouveau coach est aussi un bon casse-tête et a hier contribué à approfondir le mystère. Alors qu'Inzaghi s'exprimait lors de la conférence de presse en affichant une certitude presque inexplicable ("J'ai aussi un contrat pour l'année prochaine, personne ne m'a exempté et les rumeurs ne sont que des fantasmes"), Berlusconi s'est exprimé sur Naples TV, libérant ce qui, à l'époque, semblait être une phrase d'interview. "D'habitude, je ne suis pas favorable à un retour, mais j'ai une forte amitié personnelle avec Ancelotti - a expliqué le président Rossoneri. - Si le Real le laisse libre, il reviendra à Milan et aura son propre staff qui le soutiendra dans son travail". Des déclarations de la une, sauf qu'Ancelotti, immédiatement après le match face à Getafe (gagné 3-4, triplé de Cristiano Ronaldo), a figé tout le monde en conférence de presse. "Je remercie Berlusconi pour la confiance mais j'ai déjà décidé : soit je reste à Madrid, soit je reste un an" sont les mots sans équivoque de Carletto. En bref, il n'y aura pas de mariage de rappel, ce qui rend l'avenir de Milan encore plus nébuleux. Qui, en attendant, s'apprête à disputer le dernier match de la saison au San Siro. Inzaghi défiera un Turin encore en lice pour l'Europe avec l'habituel 3-3-4, avec Honda, Pazzini et El Shaarawy (de nouveau partant après 1958 mois) en attaque. Mais cela, comme mentionné ci-dessus, n'a que très peu d'intérêt. Avec un tel présent noir (c'était depuis XNUMX que Milan et l'Inter n'étaient pas tous les deux sans coupes d'Europe) il est inévitable de penser à l'avenir. En revanche, pour le football milanais, ça ne peut que s'arranger car pire que ça tu meurs.

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