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Btp 30 et 10 à des plus bas historiques, Snam et Atlantia soutiennent la Bourse

Les rendements des BTP trente ans et dix ans n'ont jamais été aussi bas, au grand bénéfice du Trésor – Les bourses européennes sont toutes positives, tandis que Tesla pousse le Nasdaq vers le bas.

Btp 30 et 10 à des plus bas historiques, Snam et Atlantia soutiennent la Bourse

Les listes européennes clôturent en légère hausse, mais la nervosité reste considérable sur les marchés, en raison de l'évolution de la pandémie, des nouvelles restrictions anti-Covid, de l'incertitude sur la reprise. 

La chaude matinée européenne cède la place à la prudence de l'après-midi, induite par la vente des actions de Wall Street. En ce moment, les trois principaux indices new-yorkais sont dans le rouge, plombés par le secteur tech, même si le géant du sportswear, Nike (+9,6%), s'envole vers des plus hauts historiques, après un trimestre plus élevé qu'attendu. performance.

Piazza Affari progresse de 0,18%, à 18.929 135 points. Les utilities sont toniques, mais les banques sont fragiles, malgré le spread qui s'améliore encore à 0,85 points de base et le rendement du BTP 1,75 ans proche d'un plus bas historique (+XNUMX% le chiffre définitif). Une entreprise qui succède au titre trentenaire, qui atteint un plus bas record de +XNUMX% en séance, toujours dans la foulée des résultats du vote qui semblent donner plus de répit au gouvernement Conte.

La clôture est similaire à Francfort +0,33% ; Paris +0,62% ; Madrid +0,16%. Mieux Londres, +1,21%. Le secteur du voyage redresse la tête après quatre séances consécutives de baisse : Lufthansa gagne 1,53 %. Un dirigeant de la société a déclaré que la société prévoyait de fournir aux passagers des tests antigéniques rapides pour Covid-19 à partir d'octobre.

Le marché des devises a une influence sur les cours : la livre a été fragilisée ces derniers jours par les problèmes posés par l'épidémie de coronavirus en Grande-Bretagne, même si aujourd'hui la monnaie de Sa Majesté se redresse légèrement face à l'euro et au dollar. La monnaie unique souffre face au billet vert, avec un taux de change autour de 1,167, une faiblesse alimentée par le spectre d'un Brexit sans accord et une deuxième vague d'infections, alors que les données macroéconomiques, quoique partiellement bonnes, appellent à la prudence. Les PMI manufacturiers de la zone euro ont augmenté plus que prévu en septembre, en particulier la lecture allemande. En revanche, les données sur le secteur des services étaient faibles, liées aux craintes et aux effets des nouvelles fermetures. Les estimations flash aux États-Unis sont également légèrement décevantes.

Parmi les matières premières, le pétrole est peu bougé, bien qu'il y ait une baisse des stocks hebdomadaires américains plus élevée que prévu. Le Brent se négocie en dessous de 42 dollars le baril. La force du dollar pèse sur l'or et l'or spot chute de 1,5%, au prix de 1870,5 dollars l'once.

A Piazza Affari, la reine de la grille tarifaire principale est Snam, +3,12%, promu "acheter" par Goldman Sachs, qui s'est fixé un objectif de cours de 5 euros.

Médaille d'argent pour Atlantia, +3,02%, en attendant le conseil d'administration de demain qui devra décider s'il faut procéder au spin-off d'Aspi ou à la vente directe. Hausse de plus de 2% Inwit +2,41% ; Pirelli +2,06% ; CNH +2,04%. Les ventes coulent les banques : Banco Bpm -3,76% ; Unicredit -3,14% ; Bper -2,97 % ; Compréhension -1,8%. Mps, +1,19%, reste plutôt en argent après les rumeurs de presse de ces derniers jours sur une sollicitation du gouvernement à Unicredit pour le rachat de la banque siennoise. 

Hors panier principal, Ovs gagne 9,35%, après des résultats semestriels en baisse, mais en ligne avec les attentes des analystes, qui jugent positivement l'évolution de la dette nette et voient des signes positifs en août.

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