Partagez

Bourses en baisse : le ralentissement pétrolier pèse

Quasiment toutes les cotations sont dans le rouge, aussi bien en Europe qu'en Amérique - Piazza Affari défend 27 0,6 actions mais laisse XNUMX% sur le terrain : Eni et Tenaris mais aussi Bper et Recordati parmi les valeurs les plus pénalisées - Les utilitaires vont à contre-courant avec Hera sur les boucliers

Bourses en baisse : le ralentissement pétrolier pèse

Après une série de séances contrastées, les listes européennes s'alignent à la baisse et clôturent le commerce d'aujourd'hui avec une baisse fractionnée, énervées par les ventes de pétrole et l'augmentation des infections par le nouveau coronavirus. Une situation qui pourrait peser sur la reprise et sur l'effervescente économie de Noël. 

Place Afari perd 0,59% et perd 27.661 XNUMX points, plombé par les ventes de valeurs pétrolières telles que Tenaris (-2,82%) ed Eni (-1,29 %), de quelques prises de bénéfices sur des actions comme Buzzi (-2,37 %)e Recordati (-1,89%), de la performance négative des banques, à partir de Bper (-2,51%), Banco Bpm (-1,24%), Unicredit (-1,07%). 

Mediobanca il s'apprécie cependant de 0,14%, sur les rumeurs selon lesquelles Leonardo Del Vecchio envisagerait de demander à la BCE le feu vert pour lever plus de 20% du capital. CNH, après avoir fait demi-tour, il s'arrête en baisse de 1,19 %. Quelques précisions sont apparues dans la journée sur le timing du spin-off de la filiale Iveco : la scission sera effective à partir du 2022er janvier 3 et l'entrée en bourse du nouveau groupe est attendue le 2022 janvier XNUMX, première séance de la nouvelle année.

Signe plus pour les actions défensives comme les services publics : Hera +1,65 % ; Italgas +1,43 %. Ils lèvent la tête Diasorine +0,41% et Amplifon +0,71%, après des pertes récentes. Bien Publier +0,41% et Azimut + 0,19%.

La séance est positive pour l'obligataire. Le propagation entre les BTP à 120 ans et les Bunds de même duration, il a clôturé à 0,89 points de base, avec des taux chutant respectivement à +0,31% et -XNUMX%.

Dans le reste de l'Europe : Francfort -0,18%; Parisi -0,21 % ; Amsterdam -0,3%; Londra -0,49 %. En maillot noir Madrid, -1,06 %, où le bruit sourd de Bbva (-6%).

Le climat est nuageux-variable Wall Street, prudente au départ, puis négative et aujourd'hui contrastée. Le Dow Jones est dans le rouge et apparaît particulièrement pénalisé par la chute de Cisco, suite à un trimestre en deçà des attentes. Au lieu de cela, le fabricant de puces Nvidia fonctionne sur le Nasdaq (en léger progrès). Retour les chinois Alibaba qui s'attend à une croissance annuelle des revenus au rythme le plus lent depuis les débuts en bourse en 2014 et affiche des résultats du deuxième trimestre inférieurs aux attentes en raison du ralentissement de la consommation dans le pays et d'une plus grande attention des autorités.

Les macro-données étoiles et rayures sont également en clair-obscur. Les demandes d'allocations de chômage au cours de la semaine se terminant le 13 novembre ont chuté de 268 39 à 23,8 23, pire que prévu. En revanche, l'indice manufacturier de la Fed de Philadelphie en novembre est supérieur aux estimations : 0,9 points contre 118,3 en octobre et les 0,1 estimés. Enfin, le super-indice de l'économie américaine (LEI), compilé par le groupe de recherche privé Conference Board, brille, progressant en octobre de 0,2% à 0,7 points, après +XNUMX% en septembre (révisé par rapport à l'initial +XNUMX%) . Les attentes étaient pour une hausse de XNUMX%.

Sur le marché des devises, le dollar recule à long terme. L'euro variations de reprise d'environ 0,3% face au billet vert autour de 1,1355.

Il convient de noter que le Lire turque a chuté d'environ 5%, après avoir atteint un nouveau plus bas historique face au dollar lorsque la Banque centrale a réduit les taux d'intérêt de 16% à 15% pour le troisième mois consécutif face à une inflation oscillant autour de 20% par an. Une décision voulue par le président du pays, Erdogan, et qui pèse sur la crédibilité de l'institution centrale turque. Le rendement des obligations d'État à 10 ans a bondi de 57 points de base à 20,44 %.

Parmi les matières premières, le huile elle est plutôt volatile, mais la tendance semble être celle d'une reprise partielle après les pertes de la veille. Le Brent se négocie autour de 80,70 $, +0,5 % ; le WTI se situe autour de 78,12 dollars le baril. L'office chinois en charge des réserves d'Etat, qui travaille sur la libération des réserves de pétrole, a privilégié une mini évasion de l'or noir, comme il l'écrit dans une note sans fournir de précisions. La décision est intervenue après que les États-Unis, pour la première fois, ont exhorté Pékin à participer à une action coordonnée pour refroidir les prix. La Chine est le premier importateur mondial de pétrole brut.

Passez en revue