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Bourse, Piazza Affari leader en Europe : désormais près de 26 XNUMX

Le rallye de Piazza Affari se poursuit, gagnant 1% encore aujourd'hui et est la meilleure bourse européenne - Unicredit, CNH et Pirelli brillent - Stm et Saipem souffrent

Bourse, Piazza Affari leader en Europe : désormais près de 26 XNUMX

Unicredit tire le sprint et Place Afari remporte la première étape de la semaine avec les autres listes européennes, marquant une progression de 0,99% et visant les 26 25.824 points (XNUMX XNUMX). Malgré les incertitudes de Wall Street en légère baisse dans l'attente des données sur l'inflation américaine qui seront publiées jeudi et malgré les performances éparses des autres marchés continentaux, le principal indice boursier milanais clôture une nouvelle séance en forte hausse, soutenu d'un campagne de vaccination anti-Covid qui fonctionne apparemment et pourrait conduire le pays à la fameuse immunité collective en septembre. 

Sur le Ftse MIb, Unicredit il s'apprécie de 3,47%, grâce à la promotion "acheter" de Jefferies, avec une augmentation du cours cible. L'attrait spéculatif du secteur maintient aussi le moral Banco Bpm +1,5% et Bper + 1,34%.

Parmi les meilleurs blue chips du jour il y a aussi Publier + 2,2% Pirelli + 1,96% Azimut +1,96%, alors que les baisses se limitent à trois valeurs : stm -1,37%; Saipem -1,06%; Mediobanca -0,05%.

Hors du panier principal reste sur les boucliers Saras (+12,63%), qui a récupéré environ 40% en un mois, revenant aux niveaux de juin 2020. Le bond d'aujourd'hui a été déclenché par la mise à niveau de Bofa Global Research qui a amené la recommandation d'acheter à partir de 'neutre' et avec un prix cible de 1 euro par rapport aux 0,70 euro précédents.

Dans le reste de l'Europe ça rebondit Madrid +0,84%, ils apprécient Londra +0,13% et Parigi +0,43%, tout en perdant 0,11% Francfort après que les conservateurs de la chancelière Angela Merkel ont remporté dimanche une victoire écrasante aux élections régionales dans l'est de l'Allemagne.

Les marchés obligataires irlandais et néerlandais sont pratiquement stables après l'accord historique du groupe des nations du G7 pour un taux d'imposition minimum mondial sur les sociétés d'au moins 15 %.

Le climat boursier apparaît donc positif, avec quelques perturbations. 

Selon la dernière enquête menée par l'institut allemand Sentix, qui publie un indicateur synthétique mensuel sur la confiance des opérateurs boursiers dans la zone euro, l'indice est passé à 28,1 points en juin contre 21 points en mai. Le chiffre est meilleur que les attentes des analystes qui tablaient sur une hausse plus contenue de l'indicateur, soit jusqu'à 26 points.

Cependant, les craintes concernant l'inflation et les choix des banques centrales continuent également de se faire sentir. En particulier, aujourd'hui, les marchés pèsent les propos de la secrétaire au Trésor américaine Janet Yellen, qui dans une interview à Bloomberg a expliqué qu'une éventuelle hausse des taux (le croquemitaine des marchés) ne devrait pas nécessairement se traduire par des dommages pour l'économie américaine. "Si nous nous retrouvions avec un taux d'intérêt légèrement plus élevé, ce serait en fait bon pour la société et pour la Fed", a déclaré l'ancien président de la Fed. "Nous luttons contre une inflation trop faible et des taux trop bas depuis une décennie". « et si cela aide un peu, alors ce n'est pas une mauvaise chose, mais une bonne chose. Le plan de dépenses de 4.000 XNUMX milliards de dollars de l'administration Biden sera positif, même s'il devait entraîner une hausse de l'inflation et, par conséquent, des taux d'intérêt, ce qui représenterait un "plus".

Dans ce contexte, les rendements des obligations d'État ont légèrement augmenté, aux États-Unis, mais aussi dans la zone euro, en vue de la réunion de la BCE de jeudi. 

Le taux du BTP 10 ans marque +0,86% ; celui du Bund à -0,20%. Le propagation entre les deux mandats de dix ans, il est passé à 105 points de base, +2,6 %. Comme le rapporte Reuters, la rhétorique accommodante de la banque centrale suggère qu'elle n'est pas pressée de ralentir le rythme de ses achats de 1,85 billion d'euros (2,24 billions de dollars) dans le cadre du programme d'urgence en cas de pandémie (PEPP). Cependant, avec l'économie sur des bases plus solides, l'inflation en hausse et d'autres banques centrales prenant des mesures provisoires pour ralentir la relance, la pression pour assouplir les mesures augmenterait.

Au cours des deux derniers mois, la BCE a acheté des obligations d'État italiennes dans le cadre du PEPP pour 26,12 milliards, en hausse par rapport aux 20,50 milliards achetés au cours des deux mois précédents. Le total des achats de titres italiens dans la zone Pepp s'élève donc à 182,94 milliards. En ce qui concerne les autres principaux pays, entre avril et mai, la BCE a acheté des obligations d'État allemandes pour 40,61 milliards (à 261,13), françaises pour 31,44 milliards (à 189,67) et espagnoles pour 18,35 milliards, à 122,58. Enfin, concernant les achats dans le cadre du Qe, la BCE a acheté en mai des titres italiens pour 0,585 milliard, portant le total des achats de BTP depuis le début du programme à 425,34 milliards.

Rappelons que Fitch a confirmé vendredi soir la note de la dette souveraine de l'Italie à « BBB- », marchés fermés, avec une perspective stable. 

Parallèlement, le ministère de l'Economie a confié à un groupe de banques composé de Bnp Paribas, Crédit Agricole, Goldman Sachs, Hsbc et Intesa Sanpaolo le mandat de placement syndiqué d'un nouveau BTP de référence à 10 ans à échéance 01/12/2031. La transaction, selon un communiqué du Trésor, sera réalisée "dans un avenir proche, en fonction des conditions de marché".

Sur le marché des changes l'euro il remonte contre le dollar, mais sans revenir au niveau de 1,22. 

Parmi les matières premières, la huile: Brent -0,65 %, 71,42 $ le baril.

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