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Bourse de Milan Toro et Leonardo protagoniste avec les Drs IPO

Le Ftse Mib dépasse rapidement les 24.000 22 points : le marché connaît une reprise également grâce au plan vaccin. Leonardo lance l'introduction en bourse sur 807% de DRS, une opération de XNUMX millions qui convainc les investisseurs - Voitures, banques, télécommunications au centre de la rotation du portefeuille

Bourse de Milan Toro et Leonardo protagoniste avec les Drs IPO

L'Italie, à nouveau en retrait, brille parmi les bourses : mieux que la Chine, plus engagée à endiguer la bulle immobilière qu'à financer les initiatives fintech, plus que le reste de l'Europe, quoique positive. Les marchés ont décidé que l'Italie, après des années difficiles marquées par plusieurs faux départs, mérite à nouveau la confiance. Au contraire, Le plan de vaccination de Mario Draghi qui prévoit que 80% des Italiens seront vaccinés d'ici septembre avec une accélération des vaccinations à partir de la mi-avril mérite la plus grande confiance, au point qu'après la hausse de 5% la semaine dernière (+9,60% depuis le début de l'année) le principal l'indice de la bourse de Milan a commencé ce matin à s'attaquer à des sommets désormais oubliés : après avoir dépassé les 24 mille points par élan (24.300 12 points à 25), le prochain cap est de 2020 XNUMX, un pic qui n'a pas été touché depuis le début de XNUMX.

 Leonardo s'est occupé de rapprocher la cible. L'ex-Finmeccanica vient d'annoncer le lancement de l'introduction en bourse sur la participation minoritaire de la filiale Drs cotée à Wall Street. Le groupe Défense proposera 31,9 millions d'actions sur le marché dans une fourchette de prix comprise entre 20 et 22 dollars. Leonardo Us Holding prévoit également l'offre aux souscripteurs d'un quota supplémentaire de 4,785 millions d'actions au même prix dans les 30 jours suivants. A l'issue de l'opération, la holding de défense italienne détiendra 78% de DRS (74,7% en cas d'exercice intégral de l'option d'achat) qui demandera son admission à Wall Street. Au total, une opération de 807 millions de dollars qui servira à améliorer l'endettement de Leonardo (+1,9% à 13h) mais aussi à financer de nouvelles initiatives de l'entreprise de défense, probablement sur le front européen. 

Même ainsi, la confirmation est trouvée reprise boursièreaprès une longue hibernation. Piazza Affari, l'expression d'une économie clouée depuis dix ans et plus, se déplace sur la vague de ce qui n'est pas un boom, mais a la saveur d'un "doux réveil" rendu possible à la fois par la médecine Draghi et en dépassant les règles de pacte budgétaire et dans la perspective de l'arrivée des fonds du Fonds de relance. La seule inconnue sur la trajectoire du Ftse Mib, à ce stade, semble être représentée par lehypothèse d'une nouvelle forte hausse des taux obligataires américains à la réunion de la Fed, mais il semble impossible que la banque centrale américaine veuille interrompre la hausse qui vient d'être déclenchée par le vote américain sur les stimuli économiques. Et pendant ce temps le rendement du BTP à dix ans reste à 0,613% avec un spread Btp/Bund quasi stable à 92,8 points de base : la plupart des investisseurs tiennent déjà pour acquise une situation de retour à la normale, avec des taux en hausse, mais la tendance ne nuira plus au titre du Trésor.

Bref, de nombreux éléments, dont le redressement des valeurs énergétiques et la bonne santé du dollar, concourent à favoriser une rebond des blue chips italiennes, au sein de la rotation des portefeuilles qui, finalement, joue en faveur de la Bourse italienne. En fait, les secteurs cycliques mènent la course. la voiture, drogués par le dividende extraordinaire de Stellantis mais aussi par la reprise de la demande : les banques, en hausse cinq semaines sur six, avec une performance qui pousse l'indice FTSE Italian Banks vers de nouveaux plus hauts sur douze mois. Et la liste continue avec le luxe et la vente au détail ainsi que d'autres secteurs endommagés par le verrouillage. Même les télécommunications, l'un des secteurs les plus délaissés, se remettent en marche : la Secteur européen des télécommunications a bouclé la meilleure semaine depuis mars 2020 avec un gain de 6,50% contre les +4,40% enregistrés par le Stoxx mondial.

Les raisons? Le récupération des retardataires récompensé un secteur « bon marché » avec un P/O de 16 fois mais aussi l'un des plus rémunérateurs en termes de dividendes, avec un Yield moyen de 4,20%. 

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