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Banques : les bénéfices d'UBS s'envolent, Barclays coulé par l'Afrique

La banque suisse clôture le premier trimestre de l'année avec un bénéfice avant impôts ajusté de 1.934'42 millions de francs suisses, en hausse de XNUMX% sur une base annuelle - Le groupe britannique, en revanche, voit son bénéfice net plus que divisé par deux en raison d'un maxi-dévaluation sur les affaires africaines

Banques : les bénéfices d'UBS s'envolent, Barclays coulé par l'Afrique

Les profits s'envolent Ub, tandis que Barclay's fait face à une forte baisse de ses bénéfices.

La Banque suisse clôture le premier trimestre de l'année avec un bénéfice avant impôts ajusté de 1.934 42 millions de francs suisses, en hausse de 8% sur un an. Le résultat opérationnel ajusté a augmenté de 1.269 %, tiré par Investment Bank, Wealth Management Americas et Wealth Management. Le résultat net attribuable aux actionnaires s'élève à 79'0,33 millions de francs, en hausse de XNUMX% sur un an, avec un bénéfice dilué par action de XNUMX franc.

"Nos excellents résultats du premier trimestre mettent en évidence la force et le potentiel de notre entreprise, que nous continuerons à gérer de manière disciplinée en nous concentrant sur des performances durables et une croissance à long terme", commente le PDG, Sergio Ermotti.

En ce qui concerne la place Barclays, le groupe britannique voit son bénéfice net plus que divisé par deux, en baisse à 190 millions de livres (226 millions d'euros) contre 433 millions en 2016 en raison d'une dépréciation de 884 millions sur ses activités africaines.

Ce sont des activités que l'institut ne considère plus comme stratégiques et entend vendre pour se concentrer sur l'Europe et l'Amérique. Barclays a fait savoir qu'elle attendait les autorisations qui lui permettront de ne plus inclure les activités africaines dans ses comptes.

Les revenus, en revanche, ont augmenté de 16% à 5,8 milliards de livres (environ 7,5 milliards d'euros) tirés par l'activité des cartes de crédit. Le bénéfice de la banque d'investissement a augmenté de 7 %, tiré par l'activité obligataire, mais est toujours resté en deçà des attentes.

Enfin, aucune information n'a été reçue de la Banque sur l'enquête sur le directeur général Jes Staley, accusé d'avoir tenté d'identifier une "taupe" au sein du groupe.

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