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Les banques populaires et les compagnies pétrolières font rebondir Piazza Affari (+0,9%), la meilleure bourse d'Europe

Piazza Affari en reprise (+0,98%) après les coups durs de ces derniers jours, grâce aux exploits des banques populaires et des valeurs pétrolières (Eni en tête) tirées par le pétrole cher dû aux vents de la guerre – Les comptes font la Banco fly Popular (+6,79 %), Ubi et Bper – Finmeccanica brille – Azimut, Prysmian, Mediaset en baisse – Enchères de robots bonnes – Or toujours en hausse.

Les banques populaires et les compagnies pétrolières font rebondir Piazza Affari (+0,9%), la meilleure bourse d'Europe

Tout le mal ne fait pas mal. Là Bourse de Milan, après les fortes baisses liées à la menace de la crise politique, rebondit : l'accord du MIO a compensé, au moins pour une journée, les risques liés à l'éventuelle attaque en Syrie.

A Piazza Affari, l'indice Ftse Mib a augmenté de 0,98%, à 16.743 XNUMX. En rouge, au contraire, les autres tarifs du Vieux Continent: Paris -0,47%, Francfort -1,38%, Londres -0,27%.

Pour calmer le climat a contribué lerésultat positif de l'adjudication du Trésor sur les robots semestriels. Le montant total, 8,5 milliards d'euros, a été placé à un rendement moyen de 0,886 %, contre 0,799 % lors de l'adjudication précédente, mais toujours en dessous du seuil de 1 %. La demande est restée stable à 1,47 fois l'offre, comme lors de l'enchère du mois dernier.

Mark Carney, gouverneur de la Banque d'Angleterre, a réitéré dans son premier discours officiel que les taux resteront à des niveaux historiquement bas jusqu'à ce que le taux de chômage tombe à 7%.

En revanche, les indices de Wall Street: Dow Jones +0,38%, S&P +0,36% et Nasdaq +0,56%.  
Ici aussi, selon certains observateurs, le principe selon lequel tout mal n'a pas de bon côté pourrait s'appliquer : une action militaire en Syrie pourrait inciter la Réserve fédérale à laisser inchangés le plan d'achat du Trésor et d'obligations lors de sa réunion de septembre.

Sous la parité JP Morgan (-0,4%) : selon certaines sources, les amendes que l'institut devra payer pour résoudre les différentes enquêtes liées à la faillite du négoce de produits dérivés du trader surnommé la « Baleine de Londres » devraient totaliser entre 500 et 600 millions de dollars. Les paris de Bruno Iksil, qui a pris des positions si importantes sur le marché des produits dérivés qu'ils ont influencé sa performance, ont coûté à JP Morgan plus de 6 milliards de dollars de pertes.

Barrick Gold, premier producteur mondial de Or, progresse de 1,7 %. Le métal jaune a progressé d'un modeste +0,1% à 1.415 XNUMX dollars l'once.

Piazza Affari est soutenue par l'évolution favorable de actions énergétiques, dans le sillage de la croissance du pétrole brut. L'indice sectoriel Stoxx est en hausse de 1,8%. Eni, après les ventes des derniers jours en provenance de l'étranger, il gagne 2,85%, Saipem +2,35 %. Le rebond a été plus modeste pour les autres valeurs pétrolières européennes : Total +1,9%, BP +1,1%, Royal Dutch Shell +2,1%.

Parmi les banques Le milanais se démarque Banco Popolare (+6,79%), après les résultats du trimestre, devant un autre Popolare, Ubi (+6,36%). positif Pop.Milan (+ 1%). Unicredit sel de 1,61%, Intesa +1,04 %. En gestion d'actifs, on note une forte baisse Azimut (-2,2%). 

Il brille parmi les valeurs industrielles Finmeccanica (+2,73%) sur les rumeurs selon lesquelles Cassa depositi e prestiti, via le Fonds stratégique italien, négocie l'achat d'Ansaldo Energia et de 29% de Rue Ansaldo (-1,97%).

Fiat progresse de 0,9%, malgré le recul du secteur automobile européen : Volkswagen perd 2,5%, Peugeot -2,9%. Fiat Industriel -1,34%. 

Parmi les utilitaires Enel +1,29 %. En grande évidence Iren (+5,52%) après des résultats semestriels qui affichaient une forte progression du résultat : résultat net à 110,7 millions (+47,1% par rapport à l'année précédente), et Ebitda à 376 millions (+11,7%).

Les valeurs de luxe perdent du terrain : Tod -0,59% Ferragamo -1,47%.

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