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Voitures et camionnettes, les producteurs à l'attaque : des incitations à la casse

L'arrêt des ventes de voitures neuves essence et diesel à partir de 2035 et 2040 donne l'alarme à Unrae et Promoter. Plan d'intéressement et estimations des ventes

Voitures et camionnettes, les producteurs à l'attaque : des incitations à la casse

Il renouvellement de la flotte et la flotte de véhicules utilitaires est nécessaire de toute urgence en Italie. Urgent surtout si vous voulez atteindre l'objectif d'arrêter la vente de voitures, camionnettes et camions à essence essence et diesel, respectivement, en 2035 et 2040. La décision annoncée par le Cite (le Comité interministériel pour la transition écologique) met en émoi les associations professionnelles qui demandent des éclaircissements sur la manière d'atteindre l'objectif et, notamment, sur quelles programme de subventions vous souhaitez viser à accélérer le remplacement des véhicules.

"En Italie, ils circulent presque 430.000 XNUMX véhicules industriels avant Euro V, en ne comptant que ceux avec des plaques d'immatriculation italiennes, dont 92% - indique une note de l'Unrae qui présentait une étude spécialement commandée au GiPA - avec plus de 15 ans d'ancienneté. Leur remplacement, par un plan de renouvellement ne dépassant pas une décennie, permettrait réduction des émissions de CO2 de 87 milliards de kg, une réduction de 10 % de la consommation de carburant, une économie de coûts de 49 milliards d'euros et une réduction de 48 % des accidents de la route (210.000 XNUMX de moins) ».

Des chiffres frappants, si l'on considère que le secteur des véhicules industriels occupe 1,25 millions d'employés pour un chiffre d'affaires de 344 milliards, proportionnel à 20% du PIB et verse chaque année une recette fiscale de 76,3 milliards d'euros.

« Pour atteindre les objectifs de décarbonation du secteur du transport longue distance de marchandises et de la logistique urbaine, jel'apport de toutes les technologies», déclare Paolo A. Starace, président de la section des véhicules industriels de l'Unrae, l'association qui regroupe les constructeurs étrangers opérant en Italie.

Pour accompagner la transition écologique, l'association demande une "plan vigoureux" pour un maximum de dix ans pour le renouvellement des fonds. Par ailleurs, les constructeurs demandent « une table technique avec les institutions compétentes pour l'adaptation des règles du code de la route à l'évolution technologique et commerciale du secteur, mettant également en œuvre les dispositions concernant la longueur maximale de 18,75 mètres des semi-remorques, la révision des véhicules aux particuliers, à la législation sur les transports exceptionnels ».

Demander un plan pluriannuel avec des incitations et un soutien est également organisateur, selon lesquelles ils sont nécessaires pour surmonter les difficultés que connaît le marché italien au moins quatre mesures: le premier est « un plan triennal pour le la mise au rebut d'une voiture de plus de 10 ans et l'achat d'une nouvelle Euro 6D, avec des incitations importantes et avec l'obligation du vendeur de les doubler », explique le président du Centro Studi, Gian Primo Quagliano. Ce plan doit être accompagné d'un autre « plan triennal de l'achat de voitures électriques avec ou sans mise à la casse avec une incitation significative à doubler par le concessionnaire ». En même temps, nous avons besoin « d'un plan organique de passage à l'électrique" et enfin, "supports pour bornes de recharge et l'adaptation de la réglementation pour faciliter l'installation des bornes de recharge et la bonne information des usagers ».

Le promoteur a également publié estimations pour 2021 et 2022. Cette année se terminera pour l'Italie avec 1,46 million d'immatriculations de voitures, avec un croissance de 5,7% par rapport à 2020. Par rapport à 2019, cependant, la baisse est égale à -23,8%. Pour 2022, la prévision est d'une légère croissance par rapport à 2021 à 1,5 million d'unités immatriculées, à des niveaux toutefois encore loin des niveaux d'avant la pandémie et de ceux atteints dans la période 2000-2009, lorsque le marché automobile italien dépassait régulièrement les 2 millions voitures immatriculées par an.

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