Le conseil d'administration décisif pour l'avenir d'Alitalia a commencé. Il y a quatre nœuds à résoudre pour le PDG Del Torchio et ils concernent tous l'éventuel accord avec la compagnie émiratie Etihad, qui continue de faire pression sur le transporteur italien : d'abord sur la réduction des effectifs (on parle encore des 3 400 licenciements) renégociation de la dette auprès des banques créancières (une réduction de XNUMX millions est supposée), la réorganisation réglementaire avec la libéralisation de l'aéroport de Linate (avec désengagement substantiel de Malpensa) et la réduction des places pour les compagnies low cost, et la garantie des actionnaires actuels sur le litige juridique.
Des dossiers délicats à résoudre mais cruciaux pour continuer sur la voie d'un accord avec la société d'Abu Dhabi. En effet, la semaine dernière, la société arabe a envoyé une lettre sévère dans laquelle elle signalait son intention de ne pas poursuivre les négociations sans garanties précises à cet égard. Message clair et distinct pour les actionnaires et pour le gouvernement. Et un premier point sur l'état des choses est fait aujourd'hui, au siège de l'aéroport de Fiumicino, où siège le conseil d'administration d'Alitalia.