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Santé, le ministre Schillaci existe-t-il vraiment ou est-il un fantôme ? Une thérapie de choc serait nécessaire mais nous portons des vêtements chauds

Il y a un manque de médecins et d'infirmières, les listes d'attente sont indignes d'un pays civilisé, la prévention est facultative, les investissements sont insuffisants : le système de santé italien, comme le dit le professeur Garattini, a besoin d'une véritable « révolution » mais le ministre de la Santé Schillaci semble vivre sur une autre planète. Et les résultats sont visibles

Santé, le ministre Schillaci existe-t-il vraiment ou est-il un fantôme ? Une thérapie de choc serait nécessaire mais nous portons des vêtements chauds

En Italie, 15 à 30 XNUMX personnes sont portées disparues médecins et de 50 à 80 mille infirmières, selon les critères de calcul, les agents de santé ne souhaitent pas passer des années aux urgences et chercher refuge à l'étranger ou dans des cliniques privées, listes d'attente pour les malades, ils sont si longs qu'ils sont indignes d'un pays civilisé. Ce n'est pas de l'alarmisme, mais de la pure réalité. Il faudrait une thérapie de choc pour s'attaquer aux maux de Sanita Italiana mais le ministre Horace Schillaci, bien qu'il soit médecin, s'agite, tergiverse et ne va pas au-delà des vêtements chauds. Il faudrait investir beaucoup plus dans les soins de santé mais, comme le montre un rapport du service de recherche Intesa Sanpaolo, les dépenses de santé en pourcentage du PIB, au lieu d'augmenter, sont en baisse. Les investissements sont fondamentaux mais ils ne font pas tout. En réalité, il faudrait une véritable révolution culturelle dans le domaine de la santé, comme l'écrit également le célèbre pharmacologue et président de l'Institut Mario Negri dans son nouveau livre (« La prévention est une révolution », aux éditions Il Mulino). Silvio Garattini. «Beaucoup de décisions que les institutions doivent prendre à différents niveaux (en matière de santé) – écrit Garattini – sont impopulaires parce qu'elles touchent à des croyances culturelles et à des intérêts économiques difficiles à changer». Il faudrait prendre de la hauteur sans oublier les drames quotidiens du système de santé italien, mais Schillaci est quasiment inexistant et semble vivre sur une autre planète. Et malheureusement les résultats sont attendus.

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