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80 euros, étendez-les aussi aux stagiaires

Parmi les soi-disant incompétents, ceux dont les revenus se situent dans la zone dite "non fiscale" (8 mille euros bruts par an) il y a aussi de nombreux stagiaires et stagiaires qui perçoivent des remboursements de frais moyens très bas - Même eux, qui en bénéficient déjà à partir de l'annulation du quota Irpef, il est possible de prolonger le « quatorzième salaire » de Renzi : voilà pourquoi.

80 euros, étendez-les aussi aux stagiaires

Lors de la conférence de presse de présentation de la Def, le Premier ministre Matteo Renzi a rassuré qu'une solution sera recherchée pour liquider les désormais bien connus 80 euros par mois pour ceux qui gagnent jusqu'à 1500 euros nets par mois même aux "incompétents".

Il a été récemment constaté que cette disposition aurait des effets de distorsion, car ceux qui perçoivent, en tant que salariés, des salaires inférieurs à 8000 23 euros bruts par an, ne pourraient pas bénéficier de la hausse des prélèvements. Les revenus situés dans la zone dite "non fiscale" bénéficient en effet déjà de prélèvements qui annulent l'effet du taux Irpef le plus bas, celui de XNUMX%. Il n'est donc pas possible d'augmenter les prélèvements pour incapables car il n'y a pas de différentiel entre le taux et le prélèvement sur lequel opérer pour redonner un peu de pouvoir d'achat à un public qui, de fait, perçoit un salaire de misère.

Le gouvernement tente actuellement de trouver une solution pour mettre les fameux 80 euros, soit le quatorzième mois, dans la poche même des incompétents. Cela peut entraîner des problèmes de couverture, puisque le nombre de bénéficiaires passerait de 10 à 14 millions.

Parmi les soi-disant incompétents « assis » également de nombreux stagiaires qui perçoivent des remboursements en moyenne très faibles. Sans oublier les nombreux stagiaires abusifs encore exploités aujourd'hui sans aucune protection sociale mais qui sont employés à tous égards. Selon la loi consolidée sur l'impôt sur le revenu (TUIR, article 50 alinéa 1er, lettre c), ils sont en effet à considérer comme assimilables à des revenus du travail : "les sommes versées par quiconque à titre de bourse ou de subvention, de prix ou de subvention à des fins d'études ou de formation professionnelle, si le bénéficiaire n'est pas lié par une relation de travail avec le prêteur ».

Ce serait donc un signal d'attention bienvenu pour les nombreux jeunes à la recherche d'une voie professionnelle, si le Gouvernement pouvait - après avoir identifié la couverture et le mécanisme de liquidation des montants - protéger également cette catégorie. Il est prévisible que le coût ne serait pas exorbitant.  

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