La ruée vers les fonds souverains étrangers est massive. En particulier, écrit le Corriere della Sera, les fonds arabes détiennent 6 % de Piazza Cordusio (sans compter les 7,5 % de Libyens, désormais gelés).
Ils sont au nombre de douze : une présence qui représente une sauvegarde compte tenu de la capitalisation de la banque. Trois entités sont originaires d'Abu Dhabi, ensemble elles détiennent une part prépondérante de 5,5%. Six viennent du Koweït (0,361%), deux d'Arabie saoudite (0,182%), un d'Oman (0,007%).