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Unicredit: en Italie, il y a 540 nouveaux licenciements en pratique

En Italie, le nœud relatif aux licenciements attendus par Unicredit pour les prochaines années est drastiquement réduit - Les syndicats ont calculé qu'après les excédents déjà convenus, il y a environ 540 départs supplémentaires dans le plan présenté mercredi - First Cisl : "La direction des licenciements s'accompagne de l'embauche de nouveaux professionnels »

Unicredit: en Italie, il y a 540 nouveaux licenciements en pratique

Le tollé d'hier sur le nombre de licenciements liés à Plan de redressement d'Unicredit s'atténue après un examen plus approfondi de la stratégie du groupe visant à réduire les frais de personnel. De la "coupe" de 18.200 6.900 unités en Italie on passe à XNUMX XNUMX puis on descend concrètement à 540. Ce dernier chiffre est la vraie nouveauté du plan Unicredit en ce qui concerne notre pays. Et il ne s'agira probablement même pas de licenciements.

En effet, l'un des objectifs affichés par le top management de l'établissement de crédit lors de la présentation du plan Unicredit est d'atteindre 111 2018 unités de travail d'ici 18.200. Pour atteindre cet objectif, le directeur général Ghizzoni a expliqué que dans les trois prochaines années, le groupe comptera 6.900 XNUMX employés de moins que le nombre actuel, dont XNUMX XNUMX en Italie. La grande majorité de ces licenciements avait déjà été convenue depuis un certain temps avec les syndicats italiens, qui ont cependant été surpris par les nouveaux chiffres puisque, selon leurs calculs, il y a 540 autres licenciements par rapport aux anciens accords.

Les syndicats demandent désormais à Unicredit quelles seront les modalités de gestion de ce nouveau nombre de licenciements. Fabi, le principal syndicat bancaire a déclaré dans un communiqué vouloir rejeter "toute hypothèse de sortie forcée des travailleurs. Toute retraite anticipée – lit-on – doit être négociée avec les syndicats uniquement sur une base volontaire et incitative ».

Plus ou moins sur la même longueur d'onde Premier Cisl avec Pierluigi Ledda, responsable de la coordination de l'entreprise First Cisl, qui demande à savoir immédiatement comment sera géré le nouveau groupe de travailleurs sortants. L'espoir de Ledda est que ces licenciements soient, par exemple, des préretraites volontaires et surtout qu'ils soient accompagné de nouvelles recrues. « Il ne fait aucun doute que le monde de la banque a changé et qu'il y a aussi un besoin de nouveaux professionnels. C'est pourquoi il est important que, face à la retraite anticipée volontaire, il y ait aussi nouveaux employés. Ce serait un signal important : cela démontrerait qu'Unicredit veut toujours investir dans notre pays en se concentrant sur l'embauche et non sur la simple réduction des coûts ».

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