ATELIER AMBROSETTI - C'est l'ancien premier ministre Mario Monti qui a invité le leader grec de Syriza à la rencontre des grands noms de la finance européenne - Les deux, qui représentent des mondes opposés, échangent des compliments et trouvent même des points de contact : avant tout…
ATELIER AMBROSETTI - Frank Jurgen Weise, président de l'agence fédérale pour l'emploi à Nuremberg, qui met en relation les chômeurs et les entreprises, prend la parole : "Les employeurs comme les citoyens doivent apprendre à accepter la flexibilité" - "Les mini-jobs : des opportunités pour ceux qui ne veulent pas travailler sur …
ATELIER AMBROSETTI - Giovanni Bossi, PDG de Banca Ifis, s'est également exprimé à Cernobbio : "Draghi m'a étonné avec le timing, mais il a très bien fait" - "Les taux sont-ils en baisse ? Juste une technicité pour pousser les banques à augmenter le Tlter, et…
"Aucun contact avec Mediaset, même si à l'avenir qui sait. Le Brésil reste central, tandis qu'en Argentine, nous ne pouvons pas attendre indéfiniment". La haute direction de Telecom Italia s'est également exprimée à Cernobbio, à travers les déclarations faites aux journalistes par le président Giuseppe Recchi et par l'administrateur…
ENTRETIEN AVEC FERRUCCIO FERRAGAMO - A l'atelier Ambrosetti il y a aussi un doyen du Made in Italy : le président du groupe de mode florentin présent sur 100 marchés - "La Chine ralentit mais pour nous elle reste le premier marché avec…
FORUM AMBROSETTI - La décision de baisser encore les taux, que vient de prendre la BCE, a été au centre des commentaires des économistes présents, qui ont approuvé mais beaucoup ont demandé que la Banque centrale européenne procède désormais au Quantitative Easing.
La quarantième édition de l'atelier La Maison européenne - Ambrosetti commence vendredi à la Villa d'Este à Cernobbio (Côme), qui, comme d'habitude à la fin de l'été, réunit l'établissement de la politique et de la finance internationales pendant trois jours pour discuter…
Selon le célèbre économiste, "d'abord la BCE devra baisser les taux de 0,25% à 0,10%, puis rendre négatifs les taux sur les dépôts que les banques garent à Francfort, et enfin acheter des actifs privés".