En vue du rendez-vous clé des 26 et 27 septembre, le travail de l'artiste Giovanni Giulianelli s'inspire des environs.
Le San Marino Green Festival ne renonce pas à sa mission de promoteur et de diffuseur de la culture environnementale. Dans la reprise des activités touristiques, l'organisation - jeune excellence du petit état et de l'Émilie-Romagne - Samedi 4 juillet dans la ferme Guidi "Francischin", remettra les trois premiers prix de sections Éthique, Environnement, Entreprise et Film concours dans lesquelles l'édition 2020 est divisée.
Après avoir surmonté les difficultés d'organisation causées par l'épidémie de Covid 19, le créateur de la Revue, Gabriele Geminiani et le groupe de collaborateurs misent toutes leurs cartes sur l'événement phare des 26 et 27 septembre. Une deuxième édition du Festival vert motiver avec un intérêt croissant pour moin un morceau d'Italie où les valeurs de solidarité et de protection territoriale sont intimement liées à l'histoire et à la défense de la plus petite république du monde. Pendant les deux jours de septembre, à Podere Lesignano, le quatrième prix dédié à l'éco-documentaire sera également décerné.
Giovanni Giulianelli est l'artiste qui a produit cette année les San Marino Green Awards. A la veille des premiers prix, il ne cache pas avoir créé le symbole de cette édition en observant le profil des montagnes de Saint-Marin, un horizon familier et serein, une terrasse extraordinaire surplombant l'Adriatique et le Montefeltro. Giulianelli a déclaré qu'il avait transfusé l'amour et le respect du territoire dans le prix, donnant évidemment plus de force au message écologiste du Festival. Avoir moins pour être plus est le bel titre ddans l'édition 2020 dans lequel collaborent le Secrétariat d'État, Industrie, Intérieurs, Tourisme, Territoire de la République. Il n'y a rien de trop dans cet objet rêveur, corsé et concret, explique l'organisation, comme les espoirs et les projets de ceux qui travaillent dur pour que l'avenir de chacun soit un horizon dégagé. Des temps difficiles pour que des idées comme celles-ci voyagent, mais la volonté est l'ennemie du scepticisme comme le montre ici le travail en cours. Art et environnement ensemble, dont Giulianelli dit : « J'ai toujours été enchanté par la stratification du paysage de Saint-Marin. Ce sont des fascinations qui font partie de ma recherche artistique depuis des années. A cette occasion, la pierre pâle et légèrement dorée de Saint-Marin elle-même est devenue le prix, les dalles façonnées du mont Titano et des collines environnantes".
D'autre part, il avait présenté un projet sur les profils géologiques du territoire avec Geminiani à la Biennale du design de Rimini. Le prix pour un festival qui promeut la durabilité environnementale semble consolider l'engagement. Le confier à l'Éthique, à l'Environnement, aux Affaires et au Film Concours est aussi un bon témoignage pour celui qui l'a réalisé.
